1. Délicieuses pensées


    Datte: 09/07/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, Oral uro, fouetfesse, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... quand, au climax de l’orgasme, ma puce s’est donnée sans plus de retenue. Tétanisée, cambrée, les doigts crochés dans mes cheveux, elle a feulé longtemps, pour le plus grand plaisir de nos six spectatrices.
    
    Alors, ma tâche terminée, la face barbouillée, le palais enchanté et le ventre noué, je me suis redressée, fière de moi et malgré tout tremblante, d’impatience, pour connaître le sort qui m’était réservé.
    
    — Hé ho, Chantal ! Secoue-toi ! On repart.
    
    L’interpellation de Janine me tire de mes rêveries. Les copines sont déjà reparties sur le sentier. Je les aperçois de dos, en contrebas. Colette et Marie ouvrent la marche, bras dessus bras dessous. Andréa et Béné les suivent, sac au dos. La corpulence de la première éloigne les branches devant l’autre qui écarte les plus rebelles afin d’ouvrir une route confortable à la Reine Martine. Anaïs s’est retournée en même temps que Janine. Je croise son regard et les souvenirs reviennent tandis que je me remets sur mes jambes en réveillant la danse du petit diablotin qui baguenaude au fond de ma chatte. Je vais encore semer mes gouttes de cyprine comme le Petit Poucet ses cailloux !
    
    À quoi bon lutter ? Je suis condamnée à jouir jusqu’au bout du chemin. Il est de pires enfers. D’ailleurs, ce chemin de croix là, je le connais bien, il ne fait que descendre, je ne risque pas de me perdre. Autant reprendre le fil de ma mémoire, j’en oublierai les arbustes qui fouettent mes seins, les épines qui rayent mes flancs et mes hanches ...
    ... ou les feuilles piquantes qui jouent par intermittence entre mes cuisses aussi nues que le reste.
    
    J’ai cru retrouver dans les yeux d’Anaïs la même expression confuse que celle dont elle m’a gratifiée tout à l’heure. Je n’ai pas su s’il s’agissait d’étonnement, de honte ou d’excitation en entendant ce qu’il lui était proposé. En éprouve-t-elle du remord ou l’envie de recommencer ? Je ne peux toujours pas en décider, pas plus que je ne suis capable de démêler mes propres sentiments.
    
    — Eh bien ! Tu t’en es mis plein la bouille ! Si tu voyais ta figure… s’était esclaffée Martine en me voyant ressortir de la fourche brûlante, mais propre, de Marie.
    
    Que j’ai le minois couvert de jus de minous, je n’en doutais pas. J’en avais du menton aux narines et j’en sentais mes joues poisseuses. Mes coups de langue sur mes lèvres, pour délicieux qu’ils fussent, peinaient à les en débarrasser.
    
    — C’est dommage, avait repris Martine. Il ne reste plus assez d’eau pour te débarbouiller, mais je crois que j’ai une solution… Anaïs, ma chérie, tu n’as pas besoin de faire pipi ?
    — Euh… Oui… Mais je peux attendre.
    — Ah non, ce n’est pas bon à ton âge de rester la vessie pleine !
    —(Mais où allait-elle chercher ça, Martine, heu, ma Maîtresse ? )
    — Bah… ben… On va bientôt rentrer… avait bredouillé Anaïs
    — Dis donc, tu n’aurais pas peur de pisser devant nous, par hasard ? Tu ne t’es pas privée de lorgner la chatte de Bénédicte, pourtant ? Remarque, elle aurait été déçue que tu ne regardes ...
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