1. Délicieuses pensées


    Datte: 09/07/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, Oral uro, fouetfesse, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... d’efforts. J’avais perdu le compte des impacts, le dos de mes doigts me cuisait, mes ongles s’incrustaient sur les fesses crispées, les muscles de mes bras se nouaient et la peur me prenait. Colette se taisait, concentrée toute entière dans sa volonté de souffrir en silence, sauf quand des jappements aigus lui étaient arrachés par le bout recourbé de la branche atteignant son clito. Mais alors, les gouttes visqueuses qui tombaient sur mes seins, gonflés comme ses lèvres, se faisaient plus nombreuses.
    
    Soudain, tout s’était tu. Ni bruit, ni cinglement, ni rire, ni pleur, ni reproche, ni compliment, rien ne troublait plus le calme de la clairière. Martine et Marie aidaient Colette à se mettre debout. Retombée sur le dos, j’avais lâché ses fesses. Son entrecuisse me dominait toujours, m’offrant la vue de son sexe dolent, rougi comme son cul et resté entrouvert. L’éclosion de la vulve suintait de cyprine, le gland du clitoris débordait de sa cache et les superbes nymphes avaient encore grossi, rendant presque communes les énormes créoles qui traversaient leur chair. Une impulsion m’a prise, j’ai empoigné ses jambes et me suis redressée pour coller ma bouche à cette chatte dans un baiser fougueux.
    
    Ma douceur trop zélée a fait crier Colette, de douleur ai-je cru en me le reprochant. Mais, cette douleur-là lui venait de l’orgasme au bord duquel elle était arrivée par la flagellation et que mon affection, si hâtive et naïve, lui avait déclenchée. Colette jouissait et moi ...
    ... j’avais commis une faute de plus qui me valut ipso facto des critiques sévères et décida Martine à changer ses projets.
    
    — Tu dépasses les bornes, Chantal, gronda-t-elle. Et tu n’as rien compris ! La vraie punition pour Colette, ce n’était pas le fouet, c’était de l’amener au paroxysme du désir de jouissance et de l’empêcher de le satisfaire. Tu viens de tout fiche en l’air !
    — Pardon, ma Reine.
    — Idiote ! Comment n’as-tu pas deviné ? Tu me semblais futée, pourtant, et un peu initiée.
    — Je le sais maintenant. Je ferai attention la…
    — Ah non ! Nous répéter toujours que tu t’excuses, ça suffit, hein ?! Tu vas apprendre à te souvenir des règles, ma belle, et pas plus tard que tout de suite !
    — Oui Maîtresse, ai-je admis en comprenant à quel statut elle me rabaissait.
    — Je dispense Marie des sanctions qu’elle mérite et je suspends sa soumission et celle de Colette jusqu’à notre retour chez elle. D’ici là, tu les remplaceras.
    — Oui Maîtresse.
    — Va nettoyer Marie. Tu peux te servir de tes mains, et la faire jouir si ça te chante ! Une de plus, une de moins, quelle importance pour une vicieuse de ton acabit ? Pendant ce temps, je consulterai les copines pour te trouver une punition appropriée.
    — Merci Maîtresse.
    
    Eh bien, oui, pourquoi ne m’avouerai-je pas que j’étais, au fond de moi, ravie de sombrer un peu plus dans l’humiliation et l’avilissement, surtout si c’était sous sa coupe ?
    
    Marie était en nage et très surexcitée. Ses tétons pointaient, son ventre frissonnait et ...
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