1. Délicieuses pensées


    Datte: 09/07/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, Oral uro, fouetfesse, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... caresses et su se contrôler.
    — Oui ma Reine, acquiesçai-je bien que n’ayant jamais voulu faire punir quiconque.
    — Pour la récompenser, j’accorde à Colette la grâce d’être ouverte par toi pour subir sa fessée des mains de ton amante.
    — Oui ma Reine. (La grâce ?! Quelle grâce ??)
    — Tu débarbouilleras ensuite ta Marie, des sueurs et du reste, pour qu’elle soit bien propre en étant fouettée à son tour par Colette, et c’est toi, là aussi, qui la tiendra ouverte.
    — Oui ma Reine. (Au fait, c’est quoi et comment « tenir ouverte » ?)
    — Tu recevras tes punitions après. Mais attention ! Si tu as fait jouir Marie, non seulement, vous aurez droit toutes les deux à une tournée de plus, mais Anaïs sera punie aussi. Pourquoi ? Pour augmenter tes remords, simplement.
    — Oui ma Reine. (Comment fait-elle pour me connaître si bien ?)
    
    Anaïs n’avait pas protesté, mais elle avait blêmi, son regard m’implorait. Je lui avais souri pour modérer ses craintes, mais ma face souillée n’a pas su la convaincre. D’ailleurs, Martine m’a très vite fait coucher sur le dos, mon buste entre les pieds et mes seins à l’aplomb de la croisée des cuisses de Colette. Celle-ci s’est courbée vers le sol, son cul pointant en l’air sur ses jambes tendues et le haut de son corps en appui sur ses mains. Les miennes ont été invitées à s’accrocher au plus rond de ses fesses, et j’ai reçu pour ordre de bien m’y cramponner pour garder écartées, de mon poids, et l’entaille et la raie. Au-dessus de mes yeux, ...
    ... pendouillaient les créoles et derrière ma tête balançaient les mamelles.
    
    Malgré l’ombre légère que procurait sa fourche, je pouvais voir briller la mouille de Colette en dépit de la peine à venir, ou peut-être pour ça, car son clito lui-même me semblait se gonfler. Des chevilles apparues dans mon champ de vision m’indiquaient cependant que Marie avait pris place juste au-dessus de nous et dans le même temps j’entendis la voix dure de Martine.
    
    — Frappe !
    
    Un bruit mat, aucun gémissement, un chatouillement sur mes doigts, et sous mes paumes à peine la peau des fesses avait-elle frémi.
    
    — Plus fort !
    
    Un bruissement dans l’air, un impact mollasson dont mes doigts avaient senti leur part, une petite plainte, et les fesses un instant contractées, mais entre les cuisses ouvertes la brève apparition d’un plumet d’un vert tendre.
    
    — Plus fort, Marie ! Plus fort !! Je viens de te le dire !
    
    Un sifflement, et puis un bruit curieux, comme un faisceau de paille sur un linge mouillé. Un cinglement plus vif avait touché mes doigts, et, tandis qu’un râle bref s’échappait de Colette, les aiguilles de pin avaient poussé leurs pointes jusque vers son pubis. La même succession se renouvela, une autre encore, et une autre.
    
    — Voilà !! C’est bien ! Continue ainsi, complimentait Martine.
    
    Les séquences se suivaient, de plus en plus rapides et appuyées. Les encouragements aussi pleuvaient, chacune des spectatrices allant de son mot cru et rivalisant de soutien pour inciter Marie à redoubler ...
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