Black Fluo
Datte: 02/07/2024,
Catégories:
fh,
couple,
couplus,
candaul,
Collègues / Travail
piscine,
fête,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
confession,
totalsexe,
libercoup,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... La Covid s’est éloignée. La vie a repris son cours. À nouveau tout est possible, les sorties, les cinémas, les théâtres, les soirées, les boîtes de nuit. Avec ma femme, on a une pensée pour l’inconnu du bois, le mari candauliste qui pouvait à nouveau retrouver son club et ses échanges.
Depuis notre retour, notre sexualité s’était apaisée, d’abord par le travail en présentiel mais aussi la présence de notre fils. Fini les baises surprises. Il nous restait nos petites vidéos. Elles éclairaient nos baises d’une aura perverse et c’était bon. Mais quand pourrons-nous le refaire ? J’accumulais les idées, nourries en partie par le net et son infinie variété des fantasmes.
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— Mon cher Benoît, mon mari et moi nous nous demandions si vous accepteriez une invitation pour le prochain week-end. Nous avons une maison de campagne où nous invitons quelques amis. Accepteriez-vous d’être des nôtres ? Avec votre charmante épouse, bien entendu. Comme c’est assez loin de Paris, vous coucheriez à la maison. Qu’en pensez-vous ?
C’est la première fois que ma patronne me fait ce genre de propositions. Il est vrai que depuis ce dossier dont elle a manifestement apprécié le travail, je la trouve plus chaleureuse, abandonnant cette froideur d’avant. De toute façon, difficile de refuser. À ma connaissance jamais personne parmi les collègues n’a eu droit à ce genre d’invitation.
— Il faut que je demande à Adèle. Mais en principe, nous sommes libres et c’est avec plaisir que nous ...
... viendrons.
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Nous avons eu quelques embouteillages et nous arrivons avec un peu de retard. Il est 21 heures et j’ai informé Marlène de notre arrivée plus tardive que prévu. Elle m’a rassuré par un :
Pas de problème, c’est entre amis, sans chichi.
Elle nous accueille. Je n’avais jamais vu ma patronne autrement que dans un cadre de travail, celle que nous avons devant nous est une autre. Plus féminine avec son maquillage et sa coiffure savamment arrangée. Plus femme avec cette robe qui montre ce corps que les habituels tailleurs dissimulent. Décolleté profond, manifestement sans soutien-gorge, tissu à peine plus bas que les fesses et ce dos nu qu’une actrice célèbre ne renierait pas alors que nous la suivons pour découvrir notre chambre ou elle nous laisse après un :
Descendez lorsque vous serez prêts.
— Tu as vu comment elle était habillée ? me dit mon épouse dès la porte fermée.
— Oui. C’est presque coquin. Jamais je n’aurais imaginé ma patronne si féminine.
— De quoi je vais avoir l’air moi avec ma robe ? Quand je pense que je l’ai acheté pour cette occasion, pensant que ce serait habillé. Elle ne t’avait rien dit ?
— Non. Ce n’est pas grave. Il vaut mieux que ce soit dans ce sens-là. Tu peux toujours dégrafer quelques boutons, cela fera moins « habiller ». De toute façon, cette robe te va très bien. Tu seras la plus belle. Ne mets pas de soutif, d’ailleurs tu n’en as pas besoin.
Nous descendons. Le salon est facile à trouver, il y a de la musique. ...