Black Fluo
Datte: 02/07/2024,
Catégories:
fh,
couple,
couplus,
candaul,
Collègues / Travail
piscine,
fête,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
confession,
totalsexe,
libercoup,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... consolation j’avais entendu mon épouse avouer qu’avec Julien c’était purement physique, une façon de dépenser une énergie que je n’étais plus capable de prélever, et que cela n’était pas au niveau de nos baises d’avant. « Avant » était de retour. Sans nous l’avouer, sans reconnaître nos fautes, sans même aborder le sujet, nous avions tout balayé d’une main… Cette main qui s’était emparée de ma verge et qui en dirigeait le bout vers des lèvres humides.
Que c’est bon ! J’ouvre mes cuisses, je me pousse vers l’avant du fauteuil, libérant mes bourses qu’une autre main enveloppe.
Que c’est bon, ses lèvres qui avancent sur mon gland !
Que c’est bon, cette main qui « soupèse » ce que je distille d’excitation.
Que c’est beau ce visage où le regard pétille !
— Viens ! dis-je, refusant de la laisser continuer comme souvent elle le fait, jusqu’à ce que je crache ma liqueur par des jets qu’elle s’efforce de diriger et de contrôler, conservant en bouche mon sexe qui s’alanguit, baignant pour un instant dans son propre suc avant que d’une déglutition vicieuse elle ne le fasse disparaître.
Elle vient. Elle se glisse entre moi et la table, me faisant face, s’appuyant sur le plateau pour chasser un peu plus le fauteuil, et se faire assez de place pour venir sur moi.
Elle est encore tout humide, le corps habillé de gouttelettes. Elle s’ouvre, pousse son sexe vers le mien, enjambe le fauteuil et vient se poser sur moi, sur le sexe tendu que je maintiens pour en faire un ...
... mat, un poteau, une bite. Elle contrôle son avancée et je peux suivre la lente disparition de mon mandrin qui repousse sans trouver de résistance les parois de cette grotte que j’imagine plus humide par son envie que par l’eau de la piscine.
Un instant, elle s’immobilise. Elle vient m’embrasser. Instant magique où je me sens à nouveau le jeune homme qui l’avait conquise. Amour partagé, amour qui s’était étiolé au fil des années mais qui est revenu. Je sens sa poitrine contre la mienne. Ses tétons sont des pointes délicieuses.
— Je t’aime !
Je le lui susurre, sachant combien cet aveu est le plus beau des remèdes pour me faire pardonner.
— Moi aussi… Mais j’aime encore plus ta bite quand elle est comme ça.
— Coquine. Mon Dieu, j’ai épousé une cochonne…
Depuis quelques jours, nous avons libéré la parole. Comme beaucoup de couples, nous ne parlions pas vraiment de sexe, nous limitant, enfin si on peut dire, à le pratiquer. Mais est-ce un effet de nos retrouvailles, d’avoir couché avec d’autres dans des baises purement physiques et débridées, sans la peur de se voir reprocher une parole ou une invitation jugée vulgaire ou vicieuse, en tout cas c’était bien agréable.
— Attends, tu n’as rien vu !
Elle me dit les yeux dans les yeux, s’éloignant de moi, prenant appui sur mes cuisses et commençant un mouvement des plus lascifs du bassin promenant mon bâton dans sa grotte pour en explorer toutes les parois.
Elle ferme les yeux. Elle se fait du bien. Elle est belle ...