Black Fluo
Datte: 02/07/2024,
Catégories:
fh,
couple,
couplus,
candaul,
Collègues / Travail
piscine,
fête,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
confession,
totalsexe,
libercoup,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
Enfin seuls. Le confinement terminé, mes parents et notre fils sont retournés en ville. Mon père ne peut pas travailler en distanciel. Essayez de faire de la plomberie par internet. Notre fils voulait retrouver ses copains. Adèle et moi on peut donc profiter de la maison mais surtout de la piscine et de la nature. La maison n’est pas plus grande que notre appartement à Paris, maison encore en chantier, vieille bâtisse que nous faisons rénover. Les travaux avaient commencé par la piscine qui est terminée mais le reste est encore dans son jus. Heureusement encore habitable. Et ce n’est pas demain la veille que cela sera terminé.
Il fait beau. Personne aux environs. Nous vivons quasiment nus. Depuis leur départ une sorte de frénésie sexuelle nous a pris. Autant Adèle que moi. Une frénésie agrémentée de jeux.
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Nous avons découvert le plaisir des sextapes.
La première a été tournée par le plus grand des hasards. J’étais dans la pièce qui fait office de cuisine-salle à manger-salon, en train de travailler sur mon ordi. Après un bon bain, je me sentais au top pour vraiment attaquer le projet qu’on m’avait confié. Rénover un immeuble de bureau pour le transformer en appartement. Pas évident, et je tournais autour depuis un moment sans trouver la bonne idée. Était-ce le départ de mes parents ? Était-ce cette liberté retrouvée ? Était-ce… ? En tout cas, j’enchaînais les plans. Tout me paraissait plus facile.
Enfin jusqu’à ce qu’Adèle fasse son entrée. Tout de ...
... suite, j’ai vu qu’elle avait une idée derrière la tête. Sa façon de marcher, sa poitrine qui se dressait fièrement, les tétons dardant comme des pointes.
Sans un mot elle se baisse et se glissant sous la table, rampe vers moi. Sa main humide me fait frissonner mais sans hésiter s’empare de mon sexe. Elle est sous la table, le plateau me la cache. Je repousse un peu le fauteuil et je la vois. D’abord sa main, et puis son visage. Son visage, son sourire, son regard moqueur. Et puis ses lèvres humides, sa langue rose. Je bande. Il m’a suffi que de quelques attouchements pour que mon engin se dresse et devienne dur. Décidément, cette pandémie aura au moins servi à quelque chose : nous retrouver.
Pendant une période, je n’ai pas été un bon mari. Je ne voyais plus Adèle. La force du quotidien, des gestes répétés, des baises automatiques, tout m’avait éloigné d’elle. J’avais une maîtresse, une collègue au travail. Évidemment, avec la pandémie et le confinement on ne se voyait plus. De toute façon, j’avais décidé de tout arrêter. J’avais surpris une conversation de ma femme avec une amie, amie qui lui demandait où elle en était avec « Julien ». J’avais compris que ma femme avait un amant et dans la même conversation que c’était par ma faute. Savait-elle pour ma maîtresse ? Probablement, et même si elle ne la connaissait pas, elle mettait ma faible ardeur dans mes devoirs conjugaux comme cause d’une énergie dépensée avec une autre.
J’étais cocu et je l’avais bien mérité. Comme ...