Black Fluo
Datte: 02/07/2024,
Catégories:
fh,
couple,
couplus,
candaul,
Collègues / Travail
piscine,
fête,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
confession,
totalsexe,
libercoup,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... homme. Si c’est le cas, je ne t’en voudrais pas.
— C’est très indiscret.
— Si tu dis cela, c’est que c’est vrai.
— Même si c’est vrai, ce n’était qu’une idée fugitive, une façon de pimenter encore plus ce moment-là. Tu en étais le bénéficiaire. C’était purement imaginaire.
— Donc, c’était qui ?
— Oh juste une fois. Tu te souviens de l’ouvrier dans la ferme où on allait se servir.
— Vaguement.
— Il avait un regard magnifique. Je pense que toutes les femmes qui venaient fantasmaient sur lui !
— Cela me revient. Pas qu’un regard, il était très costaud. Quand il était torse nu, on voyait ses muscles.
— Tu vois. Et je te retourne la question. Même si tu n’avais pas les yeux bandés, pensais-tu as quelqu’un ?
— La pharmacienne.
— Cela ne m’étonne pas. Son décolleté était si profond que tous les hommes avaient le regard plongé dedans. Comme ta Marlène. Si tu crois que je ne t’ai pas vu la reluquer.
— Je reconnais. Elle est si différente.
— Au point d’avoir envie de la baiser ?
En plaisantant, Adèle a mis le doigt sur un point délicat. C’est vrai qu’en découvrant ma patronne ainsi et en apprenant qu’elle était libertine, j’ai eu cette idée. L’envie de faire gémir et crier celle qui au bureau paraît si froide et si autoritaire. Mais cela ne se fera pas. On est tous les deux ici, bien au chaud dans notre chambre. D’autre part pour baiser Marlène il faudrait accepter que mon épouse baise avec un autre. Et ça, je ne suis pas certain de pouvoir le supporter. Cela doit être ...
... bien chaud en bas. On n’entend plus rien.
— Tu entends la musique ? On dirait que c’est arrêté.
— Ils doivent en être à leur « Black Fluo ».
— Je ne pense pas. Pour cela, il faut vraiment le noir complet et avec la véranda il y aurait trop de lumière parasite.
— Alors ils sont ailleurs.
Un silence et puis :
— J’ai faim. Tu as mangé quelque chose toi ?
— Non, juste une coupe entre deux danses, et toi ?
— Même pas ! Marlène m’a tout de suite questionné et emmené dans leur bureau. On pourrait descendre pour manger un truc.
— Si tu veux.
La pièce est silencieuse. Personne. Mais, bien en évidence, sur une chaise posée au milieu du passage, une feuille de papier. Une feuille avec juste un mot signé Marlène :
« Adèle, Benoît. Si vous voulez nous rejoindre, nous sommes au sous-sol. »
— Elle ne désarme pas, dit mon épouse.
— Moi je le prends pour un compliment. Elle avait l’air déçue de ce quiproquo.
— Évidemment, elle voulait coucher avec toi. Dans les vidéos, tu es à ton avantage.
— Oh, c’est pareil pour toi. Tu as dit toi-même que Georges avait apprécié de te prendre dans ses bras.
— Bon, on mange un morceau.
Elle détourne la conversation. Elle s’est plainte des « pelotages » de ses cavaliers, mais avec le recul elle doit les requalifier en marques de désir.
Nous mangeons. Mais aussi nous buvons ce champagne que les seaux ont gardé bien frais.
Nous allons remonter mais je propose une idée.
— On pourrait aller jeter un coup d’œil. Tu n’as pas ...