1. Une prouesse - Fruit défendu - Cinq minutes


    Datte: 18/06/2024, Catégories: fh, inconnu, nympho, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fsodo, totalsexe, Auteur: Landeline-Rose Redinger, Source: Revebebe

    ... populaire, le petit gars gras me lança. Un très classieux :
    
    — Tu viens m’sucer, salope ?
    
    Je me hissais jusqu’à sa cabine exagérant le geste. Mon décolleté s’entrebâillait largement, tandis que ma jupe laissait voir le filin rouge sang de mon string.
    
    — Tu prends combien, fit le petit gras ?
    — Rien
    — Rien, rien ?
    — Rien, rien.
    
    D’où j’étais, j’apercevais Marc-An toujours en affaires. À ce moment, au final, nous étions tous deux en affaires. J’espérais que celles de Marc-An seraient plus lucratives que les miennes.
    
    Le petit gras sortit sa bite, petite et grasse.
    
    — Vas-y, suce-moi, sale pute, fit-il.
    
    Je relevai ma jupe en stretch sur mes hanches et l’index fit glisser mon string.
    
    — Je ne suce pas, mais tu vas me défoncer le cul autant que je le voudrais.
    
    Le petit gras tira ses rideaux et enleva son pantalon et son slip dans la foulée.
    
    Son ventre ballait sur sa queue. Je doutais que son membre puisse œuvrer dans mon cul, comme je l’espérais. Lui derrière et moi le nez à la vitre côté passager, j’avais demandé qu’il laissât le rideau de celle-ci ouvert.
    
    Je pouvais voir et être vue de Marc et cela me fit jouir intensément tandis que Petit Gras astiquait son manche et promettait de bien jolies choses.
    
    — Ah ! tu vas voir, sale petite pute, comme je vais te le bourrer ton cul.
    
    Je sentis sa petite queue entrer en moi, mais ma jouissance n’était pas là.
    
    L’autre besognait en claquant mes fesses, mais celui-là jouait dans la cour des petits. ...
    ... J’avais posé mes mains à plat sur la vitre, mes seins pointaient vers deux routiers un peu en retrait, à peine visibles, qui astiquaient leur bite de manière frénétique.
    
    Je criais de la seule jouissance que Marc-An collé à son téléphone me vît prise comme une chienne et sans qu’il pensât une seule seconde que la chienne était son amour.
    
    Petit Gras beuglait ses insanités, j’avais envie de rire.
    
    — Tu vas m’la bouffer, sale pute, tu vas bouffer ma bite !
    — Continue, défonce mon cul, continue, tu le fais trop bien !
    
    Une petite flatterie n’a jamais nui aux laborieux. Petit Gras avait pris un rythme un peu lent, je l’incitais à œuvrer avec plus d’enthousiasme.
    
    — Vas-y, défonce, défonce, criais-je.
    
    Les deux compères avaient déjà largué leur jus et regagnaient leur camion.
    
    Puis Marc raccrocha. Je quittai la queue de Petit Gras.
    
    — Sale pute, j’allais venir.
    
    Et il s’agrippa à mes hanches fermement comme un étau sur mon corps. Je voyais d’ici Marc se saisir de son portable. Le mien sonna dans mon mini-bag.
    
    Petit Gras largua son foutre sur mes fesses puis tomba comme un linge mouillé.
    
    J’ouvris la portière, me rajustai en filant jusqu’aux toilettes de la station. J’en ressortis vitement. Mon petit sac à la main. Je retrouvais Marc-An devant un café, en appui contre la voiture.
    
    — Alors, la Suisse, lançai-je.
    — La Suisse, j’y serais demain, mon amour.
    
    Je posai ma main sur la sienne et ses yeux brillaient de gloire. Je lançai mon petit sac sur le siège ...
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