1. Une prouesse - Fruit défendu - Cinq minutes


    Datte: 18/06/2024, Catégories: fh, inconnu, nympho, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fsodo, totalsexe, Auteur: Landeline-Rose Redinger, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Landeline poursuit ses aventures routières
    
    Parfois, le temps est venu. Le temps qu’il vous fallait est là. Il n’est là rien que pour vous. Votre temps, votre heure, votre instant. Et c’est d’ailleurs, dans cet espace du temps, que Marc-Antoine fila pour la Suisse et en revint quelques jours plus tard avec le Lucrin et le stylographe Caran D’Ache.
    
    — Je te devais bien cela, mon amour, pour ta patience et ta façon d’accueillir mes contretemps et l’espace de ma vie professionnelle avec tant de constance.
    — Mais enfin, Marc-An, que dis-tu, tout cela n’est que tout à fait normal.
    
    Un brin emphatique, Marc me déposa un baiser sur le front. Un baiser de gratitude.
    
    J’avais, je dois le confesser, tellement espéré ce moment qu’il était venu à moi avec une folle aisance et bien inopinément.
    
    Un marché financier important, disait Marc-An, une sérieuse ouverture vers la Suisse.
    
    Nous allions bon train sur l’autoroute, j’accompagnais Marc pour je ne sais quelle vraie raison professionnelle.
    
    Nous nous dirigions vers Lyon. À hauteur d’Auxerre, il reçut un appel d’un directeur de la filiale suisse. Comme en état de panique, Marc proposa à son interlocuteur de se rappeler dès qu’il aurait atteint le prochain parking d’autoroute, lui dit-il.
    
    Quelque dix kilomètres plus loin, Marc se rangeait à la station en s’excusant de m’abandonner un certain temps.
    
    — Un certain temps, m’étonnai-je.
    — Oui, je ne sais pas, vingt, trente minutes, ...
    ... fit-il, un tantinet agacé, tout en appuyant sur la touche de rappel de son portable.
    
    Je lui déposai une bise sur la joue en lui signifiant d’une petite moue sympathique que j’allais m’occuper.
    
    J’avais toujours gardé dans le coffre de ma Mini-Cooper, un petit sac compressé, dont je savais qu’un jour, il prendrait l’air. Je ne m’en départais pas quand je savais l’imminence d’un voyage.
    
    Je traversai la cafétéria d’un bon pas, entrai dans les toilettes. Du sac, je sortis mon rechange, pour y glisser mes habits et filer de là avec mon mini-bag en bandoulière.
    
    J’apercevais à quelque cinquante mètres Marc-An qui accompagnait sa conversation de gestes enlevés.
    
    Longtemps, j’avais attendu ce moment où, devant lui, aux yeux de Marc, je ferai ce qu’il n’aurait jamais imaginé même au tréfonds de ses cauchemars.
    
    Dans la classification de Lily-Rose, j’en étais à l’échelle Salope.
    
    Jupe courte, bas résille, cuissardes talon plat (pour la compression dans le sac), perruque blonde, lunettes noires, justaucorps décolleté.
    
    Je me faufilais dans la lignée des camions et bien vite on m’invita.
    
    Des exclamations. Ouah ! Alors salope, tu suces… en plusieurs langues… anglaisbitch, en italientroia…
    
    Je poursuivis jusqu’à me trouver précisément à à peine une dizaine de mètres de Marc. Marc qui était toujours affairé et bien animé.
    
    Le camionneur était un petit boulot français, ventripotent et pour tout dire peu ragoûtant. Du haut de sa cabine avec une délicatesse toute ...
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