Lasciate ogni vergogna, voi che…
Datte: 17/06/2024,
Catégories:
fff,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
lavement,
orties,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... un long et agréable moment à boire, avec modération, et à papoter, sans tabou, alanguies sur de moelleuses banquettes qui, paraît-il, ne craignaient pas la mouille, voire la souhaitaient.
La conversation a été plaisante avec les occupants permanents. L’homme, largement plus de la cinquantaine, était d’une parfaite courtoisie et d’une culture maîtrisée. La femme, plus jeune, était une superbe brune dont l’élégante et suggestive silhouette a été digne de l’hommage de tous nos tétons. Ils avaient racheté pour une bouchée de pain ce commerce qui végétait lamentablement à l’écart des itinéraires touristiques. Restaurée et aménagée, la maison est devenue un discret refuge échangiste qui comble de revenus et de plaisirs cet heureux et perspicace ménage. Ménage à quatre, en fait, puisqu’au blond trentenaire s’était ajouté une aussi blonde soubrette, ce qui a satisfait la bisexualité de chacun.
Au retour, effectué sous les mêmes auspices et pratiques que l’aller, la nuit était tombée. Nous avons restitué à force doigts et contractions du vagin nos bouchons d’orties, inoffensifs depuis longtemps mais imprégnés à refus et macérés à point. Le reliquat de leur saumure baignait encore nos chattes. Nous nous sommes fait un devoir sacré de les éponger jusqu’à la dernière goutte. Pour les gamines, la précaution avisée de Janine s’est avérée bien utile pour extirper les fagots vert sombre de leur conduit anal.
Quant au végétal, objet principal de la recette, il n’était nul besoin de ...
... le faire blanchir, c’eut même été sacrilège. Janine et Colette se sont aussitôt mises à la transformation en velouté des bouquets. Ceux de Marie et Anaïs devraient ajouter une touche de saveur poivrée à la préparation qui rafraîchit au congélateur. La dégustation ne tardera pas. Le seul regret est de n’avoir au mieux qu’une bolée par personne. Nous pensions avoir fourré nos vagins à plein bord. Nous avons été trop parcimonieuses.
— Tu viens, Chantal ? C’est prêt !
Anaïs et Marie viennent me chercher. Elles sont encore plus inséparables depuis qu’elles ont souffert cul à cul.
— J’arrive mes chéries. Vous couchez avec moi, cette nuit ?
— Avec plaisir, Marraine !
Ça leur est venu à l’apéritif, chez les bi. Colette et moi sommes leurs marraines. Pourquoi pas ? Je les enlace et nous entrons nous régaler.
Le velouté froid d’ortie au bouquet de cyprines était un délice. Colette a retenu la recette, avec un ajout : il faut remplir les cons et les culs, et bien bourrer, pour disposer de suffisamment d’ingrédient.
Les jours suivants ont été à l’avenant des premiers. Anaïs et Marie ont été Reines à leur tour, impossible de les séparer, sauf si l’une était désignée Soumise. Nous avons toutes tâté du fouet, des pinces et des aiguilles, entre autres gâteries. La semaine est vite passée.
Nous roulons vers la fin de cette parenthèse. La circulation est fluide. Marie est perdue dans ses pensées, moi aussi. Une robe légère nous donne à chacune un semblant de décence. Rien ...