1. Lasciate ogni vergogna, voi che…


    Datte: 17/06/2024, Catégories: fff, douche, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral lavement, orties, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Quatre nuages blancs se courent après dans un ciel bleu lumineux. Encore ne sont-ce que des apprentis nuages, petits flocons voguant où les pousse un courant paresseux. Au moins ce filet d’air donne-t-il l’illusion d’une fraîcheur enveloppant nos corps nus. L’un des plaisirs de l’Été, et non des moindres, est de pouvoir se mettre à l’ombre. Celle d’un tilleul augmente cette sensation de bien-être après le farniente au soleil. Celui de Colette n’échappe pas à la règle, et j’en profite en alternant l’exposition de ma personne à une vraie rôtissoire et à une relative glacière. Le bonheur naît des contrastes.
    
    Dans l’ombre claire, je contemple l’azur. Sous la lumière d’Août, je dissimule mes yeux sous un grand chapeau blanc. Mes compagnes font de même, et nous échangeons nos places dans un ballet nonchalant. Se hâter semblerait épuisant. Nous marchons à pas comptés, comme des chattes désœuvrées. D’ailleurs, les nôtres le sont. Elles se ressentent des excès de la nuit passée, et nous avec. Une pause de quelques heures n’est pas de trop, même au cœur d’un séjour exclusivement dédié à toutes les formes de jouissance entre femmes. Nos ébats reprendront au retour des gamines envoyées au ravitaillement. En attendant, un seau d’eau conserve ma brassée d’orties. Il serait dommage que leurs belles feuilles dépérissent.
    
    Attendons, donc, et paressons. Andréa, notre Reine du jour, nous en donne l’exemple…
    
    Le ronflement du moteur nous tire de notre ...
    ... torpeur. Ma voiture est intacte, Marie et Anaïs sont guillerettes. Elles croulent sous les sacs de provisions et n’ont rien de plus urgent en tête que de jeter leurs quelques dizaines de grammes de vêtements aux orties. Elles ouvrent de grands yeux en découvrant celles, bien réelles, qui patientent dans le seau.
    
    Colette leur indique distraitement qu’il s’agit des préparatifs d’un nouveau jeu en les guidant vers la resserre pour ranger les achats. Leurs questions insistantes n’obtiennent pas plus de précisions.
    
    — Allez, hop ! À poil et sous la douche, leur intime Andréa dès qu’elles ressortent.
    
    Les filles obtempèrent sans se faire prier, mais lorsqu’elles se dirigent vers la salle de bain un nouvel ordre les rappellent.
    
    — Pas ici ! En haut !
    — Mais… il n’y a pas de douche, à l’étage, avance timidement Marie.
    — Il y a ce qu’il faut, ne t’inquiète pas !
    
    Anaïs n’a rien dit, elle connaît la maison. Son visage s’est seulement figé à l’interpellation de Andréa. Ses tétons pointent, d’angoisse ou d’excitation. Quelque chose s’annonce qu’elle tente de deviner. Je le vois à ses yeux qui maintenant passent de l’une à l’autre dans l’espoir d’une réponse. Pourtant, c’est elle qui monte en premier l’escalier conduisant au donjon et entraîne une Marie hésitante.
    
    Andréa apprécie cette obéissance d’un hochement de tête approbateur. Nous grimpons à sa suite, derrière les deux paires de jeunes fesses aux formes contrastées, pommes et melons dansant à chaque marche franchie. ...
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