Lasciate ogni vergogna, voi che…
Datte: 17/06/2024,
Catégories:
fff,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
lavement,
orties,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... d’orties qui faisait le double de celui qu’elle m’avait enfilé. Elle endurerait à la mesure de son rang, notre Reine !
— Recule ton cul, Chantal. Pose ta chatte sur ma figure.
Évidemment ! J’avais été sotte de ne pas y penser pour moi. Déguster ma figue l’aidait à supporter les tourments de la sienne. Les copines avaient fait pareil, et s’étaient caressées, aussi. J’ai été vraiment stupide. Il faudrait m’en souvenir si l’occasion se représentait.
Les petits trous de Anaïs et de Marie ont terminé la session. La posture exigée des réceptrices a été un peu différente : les fesses en l’air comme nous, mais les jambes ramenées vers la tête. L’anus à la verticale facilitait l’introduction. Nous les avons élargies à grand renfort de salives et de mouilles (à plusieurs, forcément…). D’abord avec l’index, ou le majeur selon l’officiante, puis le pouce, puis deux doigts, et même trois pour Marie, nous avons assoupli les rosettes et détendu les fourreaux.
Janine avait préparé deux petits fagots de feuilles et, prévoyante, les avait attachés avec du cordonnet de couture en laissant une longueur après le nœud. Ils sont entrés sans problème, par poussées successives, chacune générant un gémissement de plus en plus accentué du côté opposé à la pénétration. Quelques larmes aussi, et des succions désespérées dans la moule à portée de bouche. Mais au bout du compte tout s’est bien passé. Quand elles se sont remises debout, les nouvelles garnies avaient deux cordons pendouillant ...
... entre leurs cuisses.
L’après-midi était trop avancée pour une promenade pédestre, pas assez cependant pour un apéritif érotique. Colette a proposé d’aller le prendre ailleurs, dans un certain établissement connu d’elle et de Andréa. Il nous fallait malgré tout passer une tenue de ville, robe ou jupe chemisier, au choix pourvu que les tissus fussent suffisamment transparents pour qu’on pût deviner que nous étions nues dessous. Seules Anaïs et Marie ont eu droit à un dessous, un simple string. Andréa trouvait que le frottement de la ficelle ferait merveille dans la raie.
Nous sommes parties à deux voitures, quatre serviettes et branlettes par paires de rigueur dans chaque. La passagère avant avait les deux mains occupées. Je masturbais Colette au volant et je me masturbais à côté d’elle. Béné faisait de même avec Janine dans l’autre auto pendant ce trajet d’une petite heure. Nous avons fait quelques pauses dans nos occupations, pour ne pas trop fatiguer mains et minettes, avant d’arriver devant une ancienne bastide en retrait d’une route secondaire. Dans ce lieu isolé, elle donnait toutes les apparences de la modernité et du confort.
Le lieu était fermé en journée, mais en reconnaissant Colette le couple de propriétaires nous a accueillies à bras ouverts. L’intérieur d’un luxe cossu sans être tapageur tenait plus du dancing et du lupanar que du modeste « Hôtel Restaurant » affiché en façade. Un charmant jeune homme est venu s’enquérir de nos désirs. Nous avons écoulé là ...