Lasciate ogni vergogna, voi che…
Datte: 17/06/2024,
Catégories:
fff,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
lavement,
orties,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... connu de toutes mes compagnes plus expérimentées. Notre Reine a repoussé dédaigneusement la suggestion d’un spéculum au motif qu’il y a bien assez de doigts pour m’ouvrir la chatte. J’ai dû prendre la position requise pendant que Janine enfilait des gants, de bêtes gants de ménage. Pas de chichis !
La posture appropriée est simple. Le dos au sol, on relève le bassin au plus proche de la verticale, on soutient ses reins avec les mains, on ouvre largement sa fourche et on est prête pour l’introduction. Je suis encore confuse d’avoir obligé Anaïs et Marie à m’aider. Je ne suis décidément ni souple ni musclée. Les copines n’ont pas manqué de brocarder ma maladresse. Enfin, j’ai fini par être bien disposée, moule en attente, pas vraiment palpitante de désir.
Pas assez écartée, non plus, au gré de la Maîtresse. Sur un signe d’elle, elles s’y sont mises à deux. Tout par deux, d’ailleurs : deux fois deux mains et deux doigts en haut, deux doigts en bas, deux doigts à droite, deux doigts à gauche, crochés profond dans ma fente. Elles ont tiré ensemble, sans délicatesse exagérée, dans un écartèlement douloureux de mon sexe. Ah ça, pour être ouverte, je l’étais ! Je montrais mon vagin jusqu’au col. Et la situation commençait à faire son petit effet…
La malice de Janine a devancé mes réactions glandulaires. Un beau paquet de feuilles s’est enfourné quasiment à sec dans mes muqueuses. Dire que je les avais choisies moi-même ces feuilles, en les sélectionnant sur leurs ...
... promesses de meilleur pouvoir urticant. Je pouvais être satisfaite de mes prévisions… J’ai retrouvé l’enfer du prurit intérieur, l’impression d’un brasier s’emparant de mes organes, le besoin irrépressible de se gratter, l’impossibilité absolue de le faire. Les doigts avaient lâché mes chairs, pour mieux les refermer sur le diable qu’elles venaient d’avaler. Soucieuse de faire bonne mesure, Janine a consciencieusement frictionné les grandes lèvres, les petites, le capuchon, et même le bouton sensible de mon pauvre minou, avec une poignée de tiges laissées pour compte. Ne rien gaspiller, surtout !
Brûlant dedans, brûlant dehors, je me suis péniblement relevée afin de céder ma place à Bénédicte. Malgré les larmes qui me brouillaient les yeux, je n’ai pu qu’admirer sa résolution tranquille et sa facilité à prendre la pose. J’aurais aimé prêter assistance à son tourment, mais c’était au-delà de mes capacités immédiates. Je sautillais autour du groupe en essayant d’oublier les feux qui me rongeaient. J’avais réussi à dominer la souffrance lorsque ce fut le tour de Andréa. Alors, là, oui, j’ai proposé mes services !
J’ai hérité du meilleur rôle : à cheval sur les gros seins de ma Reine, mes doigts ouvrant sa chatte en travers. Je n’aurais jamais imaginé qu’elle l’avait aussi large. Les doigts de Béné qui l’écartaient en long paraissaient encore plus fins qu’ils ne sont. Ce n’est pas un trou, c’est un gouffre qu’elle a, notre chère Andréa ! D’ailleurs, Janine préparait un bouchon ...