Lasciate ogni vergogna, voi che…
Datte: 17/06/2024,
Catégories:
fff,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
lavement,
orties,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... Penche-toi et ouvre tes fesses !
— Mais… ma douche… je n’ai pas…, balbutie Marie avec effort.
— Pas le temps. Tout est prêt. Tu l’auras après. Ouvre tes fesses !
C’est au-dessus de ses forces. Janine l’oblige à se courber, la coince entre ses jambes, et s’empare des deux melons rebondis. Marie n’est pas de taille à résister. La raie ouverte, son anus se ferme désespérément. Je devine tout ce qui tourne dans sa tête, l’envie de crier le mot magique, le désir de ne pas céder à la panique, la honte d’un refus… Personne ne le lui reprocherait, au demeurant, seul son amour-propre en souffrirait. Andréa ne lui laisse pas le temps de se décider. Elle pose l’embout sur le cratère crispé, cherche l’angle favorable, force l’entrée, et, lentement mais fermement, pousse la canule sur toute sa longueur.
— Aaah ! Ouch ! Oooh !
La scène se renouvelle. Marie passe par les mêmes sensations nouvelles et anxiogènes qu’Anaïs. Il y a belle lurette que le clystère n’est plus la souveraine panacée, ni la fille de la campagne ni celle de la ville n’y avait encore goûté. Gigotements et frémissements identiques éprouvent celle-ci comme ils ont tourmenté celle-là. Moins longtemps mais plus durement cependant pour la seconde, car la pâleur des traits et les yeux affolés de la première incitent Andréa à accélérer la procédure, en augmentant le débit au grand dam de la réceptrice.
Le retrait s’opère avec les mêmes avertissements et précautions de circonstance, avant que la nouvelle ...
... traitée ne se retrouve elle aussi sur le sol. Marie adopte aussitôt de corps et de figure – mais le moyen de faire autrement ? – des attitudes et des expressions semblables à celle de Anaïs. Encore cette dernière touche-t-elle le fond du désespoir en remontant sur la cuvette pour vivre le plus grand soulagement et la plus intense humiliation qu’elle puisse imaginer.
— Pense à mettre la hotte aspirante, conseille Colette à Janine qui n’a pas quitté son poste.
L’ignoble débâcle commence à peine sa malheureuse responsable en place. Bruit et fureur qui ne durent guère mais doivent lui paraître interminables. Stoïque et imperturbable, la Soubrette de service en attend la fin pour en doucher sommairement les conséquences. Sa prompte diligence est une bénédiction pour Marie qui se tient maintenant les fesses dans la terreur panique de s’oublier sous elle. Et le scénario se répète dont je tairai les détails.
La suite est plus amusante pour nous et moins stressante pour les deux patientes. Elles sont cul à cul, ou plutôt hanche à hanche, s’entraidant pour tenir leur sillon ouvert, toute vergogne envolée. Janine transfère la canule d’un cratère à l’autre, emplissant l’un pendant que le précédent reflue, et ne cesse ses aller-retours que lorsque l’eau qui s’écoule est aussi claire que l’eau qui entre. Ayant ainsi conclu l’opération à la satisfaction des parties, elle sort je ne sais d’où une petite cuvette, un sachet et une poire vaginale.
— Vous devriez changer vos tampons, ...