1. Lasciate ogni vergogna, voi che…


    Datte: 17/06/2024, Catégories: fff, douche, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral lavement, orties, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... situation, ce n’est pas dans ton vagin que je vais fourrer les feuilles d’orties.
    — HEIN ??
    
    Les deux exclamations se sont confondues dans un timing parfait. Marie vient de réaliser à la fois, la raison d’être de cette douche spéciale, et qu’elle est la prochaine sur la liste.
    
    — Pas ma faute, si vous vous êtes débrouillées pour avancer le calendrier, rigole Andréa. Et pour le reste, c’est Chantal qui a eu l’idée d’assaisonner ainsi la préparation de la soupe d’orties pour le dîner.
    
    Dire que les regards que me jettent les deux gamines débordent de reconnaissance serait exagéré. Ceux des autres ne sont d’ailleurs guère plus amènes. Seule Colette laisse percer un léger sourire. Quant à Andréa, notre Reine jusqu’au soir, elle m’apparaît partagée entre la satisfaction d’un amusement supplémentaire, le regret de ne pas y avoir pensé elle-même, et le dépit de s’être engagée à subir le même désagrément que ses suivantes.
    
    — Vous verrez, vous vous régalerez avec ce velouté glacé, trouve-t-elle cependant le cran de poursuivre. Alors, Anaïs, tu m’ouvres ton cul, ou Janine le fait ?
    — Je vous ouvre mon cul, Maîtresse.
    — Brave petite !
    
    Il y a une nuance d’affection dans le ton de la remarque. Anaïs tire en effet bravement sur les jolies pommes de ses fesses, exposant en pleine lumière un adorable trou du cul bistre qui palpite pourtant d’inquiétude au-dessus d’une fente entrouverte par contagion. Janine masse et fourre grassement l’orifice, bientôt prêt pour ...
    ... l’introduction. Elle saisit alors les hanches de la promise au clystère pour la maintenir pendant que Andréa lui insère d’un seul mouvement la canule dans l’anus.
    
    — Attention, détends-toi, la prévient-elle en ouvrant le robinet.
    — Ouch !
    
    Malgré l’avertissement, le derrière de Anaïs gigote sous la pression de l’eau. Je sais ce qu’elle ressent, cette invasion brutale qui semble devoir faire exploser son ventre. Les crispations involontaires, les spasmes, l’espoir que ça s’arrête, la peur d’une contraction plus forte… je connais tout cela. Je compatis au désarroi qu’elle éprouve, non sans une lâche satisfaction de ne pas l’éprouver moi-même.
    
    — Serre les fesses. Je le retire… Garde tout, surtout !
    
    Cela aussi, je le connais : le gonflement douloureux qui tord les tripes, la panique à l’idée que son sphincter ne serait pas de force, l’horreur des conséquences que l’on imagine… C’est exactement ce que vit Anaïs, seule maintenant. Janine l’a aidée à descendre de la cuvette, faible consolation qui ne l’empêche pas de se plier en deux, mains serrées sur son abdomen, encore plus terrorisée de devoir se retenir en étant sur le carrelage du sol.
    
    — À toi, Marie. … Marie ! À toi !
    
    Bonhomme ou impératif, l’ordre est sans effet sur ma puce, tétanisée par l’angoisse. Andréa lui explique que plus elle tarde à obéir, plus elle retarde la délivrance de Anaïs. Rien n’y fait.
    
    — Portez la !
    
    Il faut nous mettre à quatre pour la hisser devant Janine qui n’a pas quitté son perchoir.
    
    — ...
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