1. Une parenthèse inattendue


    Datte: 07/06/2024, Catégories: ff, copains, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, Oral nopéné, init, lesbos, Auteur: Bx33g, Source: Revebebe

    ... fraîche et le monoï nous redonnèrent dynamisme et gaieté.
    
    Après avoir revêtu nos peignoirs de bain, c’est toutes joyeuses et rigolardes que nous préparâmes notre repas composé de thon rouge grillé au barbecue et agrémenté d’une salade de tomates au basilic, pour terminer avec une glace au caramel beurre salé, le tout arrosé d’un rosé de Provence bien frais.
    
    Nous décidâmes de faire une petite sieste dans la maison climatisée. Après avoir retiré le couvre-lit dans la chambre, nous ôtâmes nos peignoirs et nous allongeâmes sur les draps frais, nos corps entièrement nus, profitant de la douce fraîcheur de la climatisation. Nous nous endormîmes, nous tenant par la main.
    
    Après un petit somme réparateur, réveillée avant Karine, je ne pus m’empêcher de contempler son corps. Même allongée, ses seins étaient fermes et bien ronds, j’apercevais son pubis orné de sa toison brune et frisée. Je mourus d’envie de caresser sa poitrine, de me placer entre ses cuisses pour me délecter de son fruit, mais je n’en fis rien. Il fallait au contraire que je calme mes pulsions, que je me raisonne, que je me persuade que notre aventure du matin dans la piscine n’était qu’une parenthèse érotique et charnelle qui prenait fin ici. Bien sûr, Karine était une amie de longue date que j’appréciais beaucoup, pour qui j’avais une profonde estime et une affection infinie, mais je ne comprenais pas pourquoi, à cet instant, j’éprouvais pour elle une telle ...
    ... attirance charnelle et sensuelle.
    
    Allez ! Ressaisis-toi, ma petite Sandra ! Karine est simplement une amie ! Mets-toi bien ça dans la tête ! me dis-je.
    
    Voyant Karine se mouvoir légèrement, je lui fis une bise sur la joue :
    
    — Tu sais que tu es belle quand tu dors ! lui dis-je, rigolant.
    — Non, tu me matais ? répliqua-t-elle en éclatant de rire elle aussi.
    
    Là-dessus, elle saisit sa taie d’oreiller et commença à me marteler avec, je ne me fis pas prier pour en faire autant. Nos corps entièrement nus, nous fîmes pendant quelques minutes un combat de polochon. Une fois exténuées et trempées de sueur, les cheveux en bataille, nous déposâmes les armes. Face-à-face à genoux sur le lit, nous nous prîmes dans les bras l’une de l’autre pour nous faire un gros câlin.
    
    Je susurrai à l’oreille de Karine :
    
    — Nous sommes complètement folles !
    — Oui, complètement. Mais je suis si heureuse de te retrouver ! répondit-elle.
    
    Prenant un air plus sérieux, Karine m’avoua que ces cinq années aux États-Unis n’avaient pas été toujours très amusantes. Certes, cela lui avait permis d’acquérir beaucoup de connaissances et de perfectionner son anglais, mais cinq ans sans voir sa famille et ses amis, cela avait été très difficile à vivre. De plus, me disait-elle, la culture, la mentalité et les mœurs étaient totalement différentes que chez nous.
    
    — Je te raconterai tout cela ! Mais pour ce week-end avec toi, j’ai envie de me défouler !
    
    Alors que je me ...
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