1. Une parenthèse inattendue


    Datte: 07/06/2024, Catégories: ff, copains, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, Oral nopéné, init, lesbos, Auteur: Bx33g, Source: Revebebe

    ... délectais de ses câlineries si douces, charnelles et érotiques. Ne restant pas inactive pour autant, je glissai mes mains le long de ses hanches, passant sur ses fesses et lui caressant les cuisses. Puis, suivant son rythme sensuel, je glissai mes mains à l’intérieur de ses cuisses et les fis remonter jusqu’à son entrejambe.
    
    Aussitôt, elle écarta les jambes. Je pus ainsi passer une main sur sa fente bien dessinée, ourlée par des lèvres fines et longues, collées l’une à l’autre, recouvertes d’une petite fourrure aux poils frisés et doux. Après plusieurs caresses sur sa vulve, j’accentuai délicatement mon étreinte sur son abricot, ses lèvres se gonflèrent et s’ouvrirent comme un coquillage. C’est sans difficulté qu’un de mes doigts entra dans son écrin lubrifié par son liquide séminal. À cet instant, Karine émit un petit gémissement et commença à respirer de plus en plus fort. Elle n’en resta cependant pas moins inactive. Après m’avoir caressé la vulve, elle fit aller et venir deux doigts dans mon puits d’amour et mon corps fut envahi d’ondes de plaisir. Comme la sienne, ma respiration devint saccadée, je poussai des gémissements et donnai des coups de reins pour sentir ses doigts me pénétrer au plus profond de ma grotte.
    
    Je me délectai de cette masturbation et, bien qu’étant dans l’eau, je sentis des jets de mouille ruisseler de mon sexe. Je sentis le désir monter de plus en plus et il ne fut pas long à venir. Tout en continuant à me ...
    ... masturber, Karine vint caresser le bourgeon de mon clitoris. Ce fut comme un feu d’artifice, tout mon corps fut parcouru d’un grand frisson de volupté et, me laissant aller à cette ivresse, je poussai un grand cri.
    
    — Ahhhh ! Ahhhh !
    
    Je venais de jouir… Mon orgasme fut d’une intensité inédite.
    
    Karine ne tarda pas à réagir. Ses soupirs et ses petits cris de plaisir me firent comprendre qu’elle arrivait à l’orgasme. Voulant lui offrir le meilleur, j’insérai un deuxième doigt dans sa bonbonnière inondée de cyprine, effleurant son clitoris gonflé par le désir. En même temps, ayant passé une main sur ses fesses, j’introduisis un doigt à l’entrée de sa rosette. Elle explosa en se cambrant et je sentis mon doigt comprimé par la contraction des muscles de son fessier. Elle ne put retenir un cri de jouissance.
    
    — Ohhh ! Ouiii ! Ouiii !
    
    Ses jets de mouille tiède vinrent se répandre sur ma main. Nous restâmes figées quelques minutes dans les bras l’une de l’autre, nos corps l’un contre l’autre, sans un mot, reprenant notre souffle, les jambes flageolantes, encore sous les effets enivrants et stimulants de nos ébats. Puis, sereine, je brisai ce silence avec un sourire complice :
    
    — Bon ! Si nous allions manger pour reprendre des forces !
    
    Ayant elle aussi retrouvé sa sérénité, Karine me répondit d’un ton plaisantin :
    
    — Avec grand plaisir ! Cette activité m’a ouvert l’appétit !
    
    Passant sous la douche en plein air à côté de la piscine, l’eau ...
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