1. Une parenthèse inattendue


    Datte: 07/06/2024, Catégories: ff, copains, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, Oral nopéné, init, lesbos, Auteur: Bx33g, Source: Revebebe

    Le week-end se profilait et j’avais bien l’intention de profiter de ces deux jours pour me détendre, libérée du stress du travail… Je m’appelle Sandra, j’ai vingt-huit ans, célibataire, cogérante d’une agence de création de mobilier et d’architecture d’intérieur. Nous étions samedi matin, il faisait un temps magnifique, la météo annonçait une température plutôt élevée pour la saison. Après avoir avalé un bon petit-déjeuner, je partis faire mon jogging pour profiter de la fraîcheur matinale dans cet espace très agréable à côté de chez moi, le parc Bordelais.
    
    De retour à la maison, je passai du temps sous les jets d’hydromassage d’une bonne douche à me détendre et me délasser. J’enfilai ensuite un peignoir en tissu-éponge et, munie de crème solaire et d’un drap de bain, avec aussi une boisson fraîche, un magazine et un roman de Guillaume Musso, je partis m’installer sur un transat au bord de la piscine. Comme chaque fois, je quittai mon maillot de bain pour me retrouver entièrement nue. Me voilà prête pour une journée de farniente.
    
    Aux alentours de dix heures arriva un SMS de Karine, une amie de longue date qui m’annonçait qu’elle venait d’atterrir à l’aéroport de Bordeaux-Mérignac en provenance des États-Unis où elle avait séjourné cinq ans pour son travail. Elle me demanda si elle pouvait passer me voir. Folle de joie, je lui répondis qu’il n’y avait aucun problème et que c’était avec plaisir. Nous nous connaissions depuis l’âge ...
    ... de cinq ans. À l’époque, nos parents étaient voisins. Cela faisait maintenant vingt-trois années que notre amitié perdurait.
    
    Environ trente minutes plus tard, le carillon retentit. J’enfilai à la hâte mon peignoir, et ce fut avec un peu d’émotion que j’allai accueillir Karine. Sitôt le portail ouvert, nous nous jetâmes dans les bras l’une de l’autre et nous enlaçâmes longuement, de petites larmes de joie et d’émotion envahirent nos yeux, puis je pris le temps de la contempler des pieds à la tête :
    
    — Tu es magnifique ! lui dis-je, je suis si heureuse de te voir !
    
    Et elle, me détaillant de pied en cap :
    
    — Toi non plus, tu n’as pas changé ! Toujours aussi belle et souriante !
    — Allez, entre donc, ne restons pas dehors !
    
    Habillée très sexy, elle portait une petite jupe couleur rouille lui arrivant à mi-cuisses, des bottes en cuir noir montant au-dessus du genou, un chemisier crème agrémenté d’un gilet sans manches en cuir marron. Karine était une belle femme, 1,75 m, 65 kg, des cheveux bruns très ondulés lui tombaient sur les épaules et une peau couleur caramel lui venant de son père antillais. Un corps bien sculpté avec de belles courbes et, comme moi, toujours célibataire.
    
    — Tu es sûre que je ne te dérange pas ? me dit-elle.
    — Bien sûr que non ! Je me réjouis de te voir ! m’exclamai-je.
    — Tu étais en train de prendre un bain de soleil, à ce que je vois !
    — Oui, viens, tu vas pouvoir en profiter toi aussi !
    
    Ayant rejoint le ...
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