1. Une parenthèse inattendue


    Datte: 07/06/2024, Catégories: ff, copains, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, Oral nopéné, init, lesbos, Auteur: Bx33g, Source: Revebebe

    ... dans notre chambre d’internat, n’étant pourtant pas lesbiennes ni l’une ni l’autre, il nous arrivait de nous masturber chacune de notre côté, sur nos lits… surtout après le week-end, quand Karine ramenait des revues pornographiques que son cousin lui passait en échange de lui laisser caresser sa poitrine, voire de le masturber.
    
    L’évocation de ces souvenirs déclencha un certain émoi et quelques frissons d’excitation, à tel point que je sentis mon entrejambe s’humidifier. Toujours dans ma torpeur, je glissai une main dans la culotte de mon maillot de bain. Les premiers fourmillements m’envahirent le bas du ventre lorsque je me caressai le pubis, puis une douce chaleur se répandit au niveau du sexe. Ma main découvrit la fente déjà bien mouillée. Après quelques caresses, j’insérai un doigt dans mon écrin, le faisant aller et venir. Très vite, l’excitation inonda mes doigts de liquide séminal. Effleurant du pouce le clitoris, je lâchai instantanément plusieurs jets de cyprine qui inondèrent ma culotte et je ne pus retenir un petit cri de satisfaction. J’entendis Karine :
    
    — Qu’est qui t’arrive ?
    
    Ayant eu juste le temps d’enlever la main de ma culotte :
    
    — Rien, rien ! je pensais qu’une bestiole était venue sur moi !
    
    J’avais l’air maline maintenant, avec ma culotte trempée entre les jambes… et même bien plus loin, car je sentais l’humidité jusqu’entre les fesses. Je ne pouvais me lever, sinon Karine aurait vu la large auréole laissée ...
    ... par ma jouissance. Prétextant que le soleil me brûlait les jambes, je m’enveloppai d’un drap de bain jusqu’à la taille. Au moins, je cachais les traces de mes caresses. Laissant tomber mon drap de bain, je plongeai aussitôt dans l’eau, Karine n’eut pas le temps d’apercevoir les marques sur mon maillot. Maintenant, j’étais tranquille, j’étais mouillée de partout.
    
    Ne pensant plus que Karine était en sous-vêtements, je l’interpellai :
    
    — Tu devrais venir ! Elle est trop bonne !
    
    Karine se leva et, sans aucune gêne et à ma grande stupéfaction, elle ôta ses sous-vêtements et plongea. Elle nagea sous l’eau, telle une sirène, jusqu’à venir remonter devant moi.
    
    — Waouh ! C’est vrai qu’elle est bonne !
    
    Elle fit demi-tour, nagea quelques brasses, et revint vers moi.
    
    — J’espère que ma nudité ne te choque pas ! me dit-elle. J’adore nager nue, éprouver ce sentiment de liberté et de légèreté dans l’eau.
    — Je dois t’avouer que lorsque je suis seule, je me baigne toujours nue. Moi aussi j’aime ressentir la douceur de l’eau qui caresse ma peau, cette aisance des mouvements, me sentir comme en apesanteur.
    
    Côte à côte, adossées au bord de la piscine :
    
    — Alors qu’attends-tu pour m’imiter ? dit-elle.
    
    Ne sachant pas trop quoi lui répondre, sur l’air de la plaisanterie, et connaissant ma vitesse de nage, je lui lançai un défi que j’étais sûre de gagner :
    
    — Si tu arrives la première au bout de la piscine, j’enlève mon maillot ! lui ...
«1234...25»