1. Une parenthèse inattendue


    Datte: 07/06/2024, Catégories: ff, copains, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, Oral nopéné, init, lesbos, Auteur: Bx33g, Source: Revebebe

    ... dis-je.
    
    Aussitôt dit aussitôt fait ! Nous partîmes en nageant la brasse. Je fus stupéfaite de voir que Karine me devançait de deux bons mètres à l’arrivée. À peine avais-je posé les pieds sur le fond du bassin que Karine passa derrière moi et, avec une rapidité déconcertante, dégrafa mon soutien-gorge et fit glisser ma culotte au bas de mes chevilles. Dans un éclat de rire, elle lâcha :
    
    — Je crois que tu as perdu ton pari !
    
    Puis, remontant ses mains le long de mes jambes, elle me caressa les fesses.
    
    — Tu voulais me cacher ce beau petit trésor ?
    
    Après quoi, elle remonta les mains et les posa sur mes seins.
    
    — Tu voulais aussi me priver de ces deux merveilles ?
    
    Pensant qu’elle s’amusait et plaisantait pour me taquiner, je lui fis un grand sourire et tout en la charriant un peu sur un ton blagueur, je lui répondis :
    
    — Hey, tu t’égares un peu ! Mais je reconnais que tu as les mains douces !
    
    N’osant trop rien lui dire, je trouvai que son pelotage de poitrine durait un peu et, en plus de ça, elle vint se coller contre moi. Je sentis ses seins sur mes omoplates et son pubis côtoyer mes fesses. Cela me provoqua un certain émoi et je fus légèrement troublée, me demandant où elle voulait en venir.
    
    Elle me murmura à l’oreille :
    
    — Tu crois que je ne l’ai pas vue tout à l’heure, ta petite main enfouie dans ta culotte ?
    
    Je me sentis toute honteuse et confuse, une bouffée de chaleur empourpra mon visage alors qu’elle ...
    ... continuait de me caresser les seins. C’est sur un ton très embarrassé que je balbutiai :
    
    — Euh, je… je croyais que… que tu dormais !
    — À croire que je ne dormais que d’un œil !
    
    Elle relâcha son étreinte pour me faire pivoter face à elle. Me souriant et me voyant complètement désorientée, je l’entendis susurrer :
    
    — Tu ne vas pas me faire croire que tu n’as jamais eu une aventure avec une fille ?
    
    Je dus avouer que ses caresses sur ma poitrine, le contact de son ventre sur mon dos, son pubis sur mes fesses ne me laissaient pas vraiment indifférente et ne me déplaisaient pas. Ils me procurèrent même une certaine émotion. Reprenant mes esprits, je lui confessai que je n’avais effectivement jamais eu de rapport, de quelque manière que ce fut, avec une femme !
    
    À son tour, elle fut un peu déconcertée, presque à vouloir s’excuser. Je la rassurai, lui disant que je ne le prenais pas mal du tout, lui avouant que ses effleurements ne m’avaient pas laissée insensible et que si je m’étais masturbée tout à l’heure, c’était justement d’avoir entraperçu son sexe et ses tétons à travers ses sous-vêtements plutôt sexy et que cela m’avait excitée. Pour lui en donner la preuve, surmontant mon appréhension et redoutant un refus qui aurait été humiliant pour moi, je m’approchai d’elle et, un peu fébrile et angoissée, je posai mes lèvres légèrement tremblantes sur les siennes. À ma grande satisfaction, elle se laissa faire. N’ayant jamais embrassé une femme, ...
«1...345...25»