1. Une parenthèse inattendue


    Datte: 07/06/2024, Catégories: ff, copains, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, Oral nopéné, init, lesbos, Auteur: Bx33g, Source: Revebebe

    ... » comme tu dis et tu t’habilles un peu chic, j’ai une petite surprise pour toi !
    — Ah, bon ! C’est quoi ?
    — Si je te le dis, ce ne sera plus une surprise !
    — Allez, Sandra ! Dis-moi, qu’est-ce que c’est ?
    — Surprise, surprise… répliquai-je en souriant.
    — Bon, j’ai compris, je n’en saurai pas plus ! s’exclama-t-elle.
    
    Le matin, en toute discrétion, sachant que Karine adorait ça, j’avais réservé une table dans un restaurant du vieux Bordeaux spécialisé dans les fruits de mer.
    
    Je vis arriver Karine vêtue d’une jupe droite noire lui arrivant à mi-cuisses et moulant les hanches et les fesses, d’un chemisier en soie, blanc cassé, dont le tissu fin laissait deviner qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, et elle était chaussée d’escarpins à talons aiguilles rouges. Pour ma part, j’avais opté pour une robe en voile de chiffon bleu marine avec un décolleté en V et une paire de ballerines bleu ciel à talons plats.
    
    Une fois arrivées au restaurant et installées à notre table, comme convenu avec le patron que je connais bien pour être une habituée de cet établissement, le sommelier vint nous apporter une bouteille de champagne « Roederer Cristal » dans un seau rempli de glace pilée et nous en servit une flûte à chacune, alors qu’en même temps, deux très jolies serveuses vinrent placer un énorme plateau de fruits de mer au centre de la table.
    
    — Waouh ! C’est quoi ce délire ? En quel honneur tout cela ? m’interrogea Karine.
    — Pour fêter ton ...
    ... retour, ma chérie… et parce que je t’aime !
    
    D’un air crispé, voire tendu, et aussi mi-surprise et mi-interrogative, les yeux écarquillés, Karine s’esclaffa :
    
    — Ah bon ! Enfin, parce que tu m’…
    
    Voyant son air ébahi, ayant compris sa stupéfaction, je ne lui laissai pas le temps de finir sa phrase :
    
    — Karine, lui dis-je, quand je dis « parce que je t’aime », il n’y a aucune ambiguïté, je t’aime d’amitié, je t’aime comme une sœur, je t’aime comme une confidente, il n’y a aucun sentiment amoureux, c’est juste une grande amitié, une profonde affection que je partage avec toi… C’est tout !
    
    Son visage se détendit, elle but une bonne gorgée de champagne et, avec un petit sourire, me répondit :
    
    — Ouf ! tu m’as fait peur, en voyant la façon dont tu me disais cela, j’ai cru que tu allais me demander en mariage !
    
    Je ne pus me retenir de pouffer, ce qui attira les regards vers notre table, et nous continuâmes à rire toutes les deux. Au bout de quelques minutes, Karine me dit qu’elle devait aller aux toilettes, avoir autant rigolé lui avait donné envie de faire pipi. Alors qu’elle s’éloigna, voyant son dos élancé, la courbe de ses hanches, la jupe lui moulant à la perfection les fesses, je jetai un coup d’œil dans la salle. Je ne pus m’empêcher de sourire en voyant le regard des hommes essayant d’être le plus discrets possible, se retournant sur son passage, les yeux fixés à hauteur du bassin ou de la poitrine, leurs conjointes ne partageant pas ...
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