1. Où Marie se libère


    Datte: 05/06/2024, Catégories: ff, fff, jeunes, inconnu, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, intermast, uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... été en reste, toi non plus, en t’exhibant sans vergogne, hein, coquine ! Tu as sans doute eu raison de le faire, mais tu m’as étonnée.
    — Ça m’est venu comme ça, sans réfléchir, j’étais… Je peux vous dire quelque chose, Chantal ?
    — Tout ce que tu veux, ma puce ! J’aurais mauvaise grâce à te reprocher quoi que ce soit.
    — J’étais excitée de voir son corps nu, ses seins, sa chatte ouverte… Et je l’ai été encore plus en me montrant toute… Je me serais même caressée devant elle… j’ai eu peur de le faire !
    
    Adorable Marie qui découvre les plaisirs de l’exhibition ! Elle m’attendrit, elle me rappelle les émois que j’ai éprouvés récemment. Je la prends dans mes bras. Sa peau est brûlante, toute tendue, frémissante, trempée de sueur. Ni le soleil ni la peur n’en sont la seule cause. Son buste et son ventre glissent sur les miens quand je l’embrasse.
    
    — Confidence pour confidence, c’était pareil pour moi… ce n’est pas passé, j’en ai toujours envie, avoué-je en l’étreignant. Pas toi ?
    — Oui ! Oh oui ! murmure-t-elle contre mon oreille.
    — Envie de te caresser ? De te masturber ? De te branler comme une cochonne ?
    — Oui. Oui ! OUI !
    — Faisons-nous jouir très fort, ma puce, mais chacune pour soi, en restant prudentes. Souviens-toi du conseil de notre gendarmette. Face à face ou côte à côte ? Tu peux penser à elle, si ça te fait plaisir, souris-je.
    — Comme vous voudrez, Chantal. J’aimerais vous voir et que vous me voyiez.
    — Face à face alors, petite voyeuse ! Après nous irons ...
    ... nous refroidir et nous laver dans l’eau. Promenade ensuite, pour nous sécher. Si les dames de ce matin sont encore là, nous leur dirons au revoir avant de rentrer. Ça te va ?
    — Oui, oui, vite, je vous aime !
    
    Je vis l’adolescence que je n’ai pas eue, des amusements de fillette qui ne me manquaient pas jusqu’à présent. Je n’avais jamais osé, à quinze ou vingt ans, me masturber devant une amie. Des copines ne s’en privaient pas. Certaines s’en vantaient, je les trouvais vulgaires. Pour ne pas les jalouser, je le comprends aujourd’hui. Bien tard ! L’une d’elles ressemblait à Marie, je m’en souviens maintenant. J’étais déçue qu’elle fût de ces « vilaines filles ». Quelle idiote j’étais ! Que de bons moments de plaisir perdus !
    
    Deux décennies et quelque plus tard, j’ouvre mes cuisses devant une gamine qui a l’âge de ma fille, et je dévore des yeux la vulve qu’elle me présente complaisamment. Pas que son sexe, ses pieds aussi, et ses mollets, ses genoux, son ventre, ses seins, ses épaules, son cou, sa bouche, son visage… tout son corps si pulpeux, si ferme, si frais… tout son corps frissonnant de désir… Son corps à croquer, qu’elle abandonne en confiance à ma dévoration.
    
    Je me laisse détailler en retour, assise en grand écart, sans honte de mes lèvres gonflées, sans honte de ma fente poisseuse, sans honte de mon clitoris turgescent, sans honte de mon ventre rond, sans honte de ma poitrine lourde, sans honte de mes tétons durcis, sans honte des rides qui me trahissent, sans ...