La vie de Sophie Fin
Datte: 02/06/2024,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... surprise, il est pour moi, que nous portions toutes les deux cet anneau, et ainsi en pensant à cette contrainte nous sachions que l'autre la vit également.
- Oh mon Dieu! Mais cela va te faire mal! »
L'homme et moi partîmes d'un fou rire à cette réflexion dite d'un ton si enfantin. Sophie ne se préoccupait pas une seconde de la douleur qu'elle pouvait ressentir elle, moi par contre, c'était tabou. Je dois avouer que j'avais très peur. L'homme ne m'avait pas rassurée, simplement indiqué que la douleur était terrible, mais qu'avec son expérience, cela ne durerait pas plus d'une seconde pour mettre l'anneau, et 15 jours pour cicatriser. Je le croyais sur parole, et il avait raison.
J'ai adoré voir l'aiguille impressionnante déchirer les tétons de ma tendre et douce. Je l'embrassais et la caressais, adorant mélanger douceur et douleur, à tel point que pour Sophie l'une n'allait plus jamais sans l'autre. Le résultat était magnifique, sublime, j'étais terriblement excitée à la regarder, et inquiète que mon tour arrive. Le percement de son clitoris fut plus douloureux et difficile, mais seules quelques larmes montrèrent sa douleur, impressionnant le vieil homme. L'anneau émergeait de ses chairs intimes, impudique et affolant, brillant, comme un appel à l'attacher et à la battre.
Je me rendais compte que l'effet sur moi risquait d'être identique, ce qui était à coup sur un contre sens. Je ne pus m'empêcher de laisser échapper un cri. Et pourtant je voulais être aussi ...
... héroïque que Sophie. Celle-ci était affolée de me voir ainsi, livide et affaiblie. Le vieil homme me passa un miroir pour me regarder, et un verre de cognac pour me remonter! Je n'avais jamais vu ainsi mon sexe. L'anneau tirait sur mon clitoris, j'avais le sentiment d'être suspendue à lui. J'exultais de cette idée qui faisait que nous avions toutes deux le même anneau, comme si nous étions marquées à vie. Pourtant celui-ci n'avait pas été scellé mais peut être une autre fois. La douleur diminua très rapidement, et il ne resta plus que cette gêne qui était un vrai plaisir toutes les deux, comme un pont nous reliant sans cesse.
En remontant l'escalier, je demandais au vieil homme si je pouvais montrer son travail aux clients encore présents. Il en fut très fier. J'ouvrais l'imperméable de Sophie, laissant voir les anneaux aux seins et au clitoris, sous le regard très intéressé des jeunes filles et jeunes garçons présents. Je voulais la ramener ainsi à la maison, mais le collier c'était déjà beaucoup!
Sophie bondissait de joie dans la rue, j'arrivais à peine à la calmer, et je n'en avais pas envie non plus, même si je me sentais un peu faible. Chaque jour je me rendais compte que je l'aimais un peu plus, et qu'elle me rendait un peu plus heureuse.
De retour dans notre sweet home, Sophie prépara un dîner de fête, bien arrosé. Je lui avais fourni le menu, elle ne décidait plus rien de ce qu'elle mangeait depuis que nous vivions ensemble, et c'était devenu absolument naturel ...