La vie de Sophie Fin - Histoires de Sexe

La vie de Sophie Fin

... seins. Sa poitrine était si magnifique que j'étais sure de pouvoir encore la rehausser ainsi. Mais je ne voulais pas n'importe quels anneaux, sans bien savoir vers quoi me guidait mon choix. Sophie de son côté préparait un cadeau pour nous deux également et je l'avais laissée libre de ce choix, elle n'en avait plus beaucoup.

Je tombais en arrêt devant des anneaux très spéciaux que je n'avais vus nulle part ailleurs. Il s'agissait de véritables cadenas en acier chirurgical, magnifiques. Je les voyais déjà sur la jolie poitrine de mon esclave. Sauf que le diamètre des anneaux était bien au-dessus de la moyenne, en fait le double, et j'eu beaucoup de mal à trouver un artisan qui acceptait de faire de tels percements sans anesthésie. Il était pour moi évident que Sophie devait pleinement sentir sa chair percée et transpercée. La discussion avec le perceur que j'avais trouvé, je ne savais plus par qui ni comment, était passionnante. Il avait un véritable amour de son métier, et ne semblait intéressé que par cela. Il était très content de mes choix, qui étaient rares. Mais me convainquit d'aller un peu plus loin, après lui avoir exposé notre relation d'esclavage.

J'avais préparé Sophie pour notre sortie, un samedi soir. Je m'étais fait plaisir, et à elle aussi, en marbrant son corps de fines marques de badines qui faisait un grillage sur tout son corps, en remontant sur le cou. Son collier de chienne était très serré comme j'aimais, gonflant la peau de son cou, je la tenais ...

... en laisse lorsque nous sommes entrées dans l'échoppe. Les regards inquisiteurs devinèrent facilement que Sophie était nue sous son long imperméable, à part ses baskets. Chacun essayait de nous mater toutes les deux, mais sans oser franchement le faire, nous en avions maintenant l'habitude. L'accueil du vieil artisan fut très sympathique et il nous amena directement dans son sous-sol. Sophie ne savait pas quel était mon cadeau, mais comme elle en avait pris l'habitude, se laissait faire sans réfléchir, sans rien penser, heureuse que j'ai pensé à elle pour cet anniversaire.

L'homme sortit de deux sachets en plastique les cadenas épais pour les montrer à Sophie. Je lui expliquais que c'était pour ses tétons. Elle les regarda avec curiosité, voulu les soupeser, et m'offrit un magnifique sourire qui valait tous les baisers. Mais ce n'était pas fini, et en fait le clou n'était pas là. Il sortit de deux autres plastiques, deux anneaux en or épais, de 3 mm d'épaisseur et 20 mm de diamètre, chacun, avec une forme parfaitement lisse. Il fallait regarder à la loupe pour percevoir deux fines marques délimitant une pièce amovible permettant de le mettre en place, éventuellement de façon définitive si cela était souhaité. Les objets étaient magnifiques, et Sophie me jetait un regard interrogateur.

« C'est pour ton clitoris mon amour, qu'en permanence tu saches que tu m'appartiennes avec ce poids en toi.

- Oui, oh oui, je suis heureuse. Mais pourquoi deux?

- Le deuxième, c'est ma ...