« Josy » Épisode 24 : La petite salope au « Paradise-Club »
Datte: 02/06/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... cette fois, je lui tendis une clé avant que l’on se quitte, l’ayant averti que les matins je risquais d’être encore au lit lorsqu’il arrivait : « N’hésite surtout pas, fais comme chez-toi. »
Le lendemain matin, à 7h45 il ouvrit la porte mais avant de monter son matériel, il frappa à la porte m’indiquant sa venue. Je l’avais entendu mais je ne m’étais pas levée, il était encore trop tôt pour moi. Une demi-heure plus tard en me levant, je choisis le peignoir approprié, style sexy assez court, en soie blanche et dentelle, porté avec une ceinture à la taille, laissant deviner, par la grande échancrure, une partie de ma poitrine. Puis je m’étais dirigée vers lui : « Bonjour Philippe ! Tu prends le café avec moi ? » Lui demandais-je après lui avoir fait la bise.
Cela faisait trois jours que j’allumais Philippe comme je le pouvais ce fus à peu près le même rituel. Soit dans mes déshabillés, soit en sortant de la salle de bain en petite tenue, soit avec de petites allusions, sans que celui-ci ne lève le petit doigt. Lorsque je partais vers 10 heures pour ne revenir que vers 16h30, je me demandais dans quel état d’excitation, il était. Je l’imaginais bandant comme un cerf en train de se masturber, en pensant à moi. C’était un peu le but du jeu. Le soir nous en parlions avec Jean-Lou qui me donnait quelques idées pour le lendemain.
C’était la première fois qu’un homme me résistait aussi longtemps. Il faut dire pour sa défense qu’il était encore bien jeune et ne devait pas ...
... avoir une énorme expérience avec les femmes. A la fin de la journée du jeudi, il était prêt à partir, mais semblait pourtant, ne pas vouloir quitter la maison. Lorsqu’il se décida d’ouvrir la porte, je lui fis la bise en conservant le plus longtemps possible, le contact de mes lèvres sur ses joues et j’avais posé mes mains sur ses épaules, puis les avaient descendues lentement le long de ses bras, pour finir sur ses mains.
Je l’avais senti, il réagissait bien à ma façon de faire, il attendait sans doute à ce que je l’invite à rester. Cependant, c’était peut-être encore trop tôt : « Attendons demain. » Pensais-je. Avant de descendre l’escalier, déçu, je suppose, Philippe avait pris un peu plus d’assurance avec moi. Alors qu’il m’appelait toujours Madame. Comme je lui avais demandé, dès le premier jour. En me quittant, il me dit : « À demain Josy. Passez une bonne nuit. » C’était bon signe, il était prêt. Quand le soir, j’en avais parlé à Jean-Lou, n’ayant rien à faire d’urgent de la matinée du lendemain, il m’avait fixé comme objectif d’agir dès la première heure.
Le vendredi matin, sachant qu’il venait à la maison à 7h45 précise, je m’étais levée avant qu’il arrive. Je portais pour l’occasion un petit shorty en dentelle, au-dessus duquel, j’avais enfilé un peignoir kimono sexy en Satin rose très court, à fausse fourrure aux manches, dont j’avais volontairement oublié de fermer la ceinture, laissant ainsi ma jolie poitrine à l’air libre. Je me sentais magnifique et ...