« Josy » Épisode 24 : La petite salope au « Paradise-Club »
Datte: 02/06/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... tout l’été jusqu’à deux, voire trois heures du matin suivant la clientèle encore présente dans la salle et au bar.
À la rentrée en septembre 77, Nous avions donc, nous aussi, essayé, d’ouvrir la discothèque, les vendredi-soirs en réduisant la salle, grâce à notre cloison mobile. Là encore, si le résultat ne fut pas exceptionnel au début, en trois ans, nous avions augmenté considérablement les bénéfices. J’avais dû racheter le terrain voisin à l’agriculteur afin d’en faire un parking. Mon petit bas de laine, s’était transformé en coffre-fort. Ne me couchant pas avant l’aube, afin d’éviter le bruit qui m’empêchait de dormir, j’avais abandonné mon appartement au-dessus du restaurant.
Dans ma belle et grande villa, j’avais installé mes bureaux dans l’immense sous-sol aménagé. Si avec Jean-Lou nous nous aimions toujours, il ne me faisait pas plus souvent l’amour pour autant. Au contraire, il ne me contentait plus qu’une fois par semaine au grand maximum. Ma relation avec Patrice le nouveau Maire s’étant interrompu après les élections et celle avec Bruno, le dernier en date, commençant à s’estomper, après une petite année, la chasse à l’amant idéal, lors de mes fortes pulsions sexuelles, était toujours d’actualité.
Depuis l’ouverture du « Paradise-Club », à 27 ans, je ne me sentais plus une jeune fille, étant devenue une femme d’affaire, je me devais de me comporter comme telle. Adieu mes petites jupettes ou mes robes légères portées raz les fesses. J’avais les moyens ...
... de renouveler toute ma garde-robe. Je m’étais habituée à me vêtir avec classe, en portant des tenues classiques restant toutefois très sexy. Avec Jean-Lou, rien n’avait changé, il aimait de temps en temps choisir pour moi, mes amants occasionnels et nous nous en amusions toujours autant. Et lorsqu’il me mettait au défi, j’adorais jouer le jeu en enfilant mon costume de « Super Petite Salope. »
Un an plus tard en mai 78, peu après avoir emménager dans ma nouvelle villa, l’intérieur ne me correspondant pas, je désirais refaire toute la déco. En ce qui concernait la peinture et les papiers peints, n’ayant pas été déçue lors de la réfection de l’étable, j’avais bien l’intention de choisir, pour ces travaux d’intérieur, la même entreprise, celle d’Alain mon ex amant. Dans une discussion avec mon chéri, il me dit que deux ans auparavant, Philippe le beau petit apprenti travaillant aux finitions, n’avait d’yeux que pour moi : « Jean-Lou ! Il est mignon mais ce garçon n’a que 18 ans. » Je me trompais, depuis il avait mûri et devait avoir une vingtaine d’année à présent, m’avait signalé mon chéri.
J’avais donc accepté le défi, autant que je pouvais me souvenir de Philippe, mis à part qu’il était très beau garçon, il était très respectueux, gentil, sans culot, ni curiosité excessive, peut-être un peu timide, cependant il me fallait ce genre d’ouvrier afin que je puisse lui faire confiance, étant donné qu’il serait souvent seul à mon domicile. Lorsque j’avais appelé Alain, lui ...