Deux fessées, et la suite !
Datte: 27/05/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
caresses,
fgode,
fdanus,
jouet,
Partouze / Groupe
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... annonçait-t-elle de nouvelles brimades. Après cet intermède, les sanctions reprenaient. J’ai fermé les paupières, résignée à subir la troisième fessée que l’on m’avait promise.
Eh bien, je me trompais ! En sentant un doigt inquisiteur me pénétrer la chatte, j’ai relevé la tête et ouvert de grands yeux, curieuse des raisons de cette intromission.
— Chut, chut ! Recouche-toi, a sifflé ma Maîtresse.
Son doigt me visitait, récurant mon vagin pour recueillir son miel. Prudemment ressorti afin de rien en perdre, il glissait maintenant jusque sur ma rondelle, la tartinait de sucs et s’y introduisait. Lentement, obstinément, il en enduisait le pertuis tout en l’élargissant. Quand il se retira, j’eu l’impression d’un vide. Cela n’a pas duré, un contact plus rigide a vite remplacé la souplesse du doigt et m’a fait sursauter.
— Détends-toi !
Trop tard ! Je m’étais contractée. Une brusque poussée a eu raison de moi et m’a coupé le souffle. Une brève douleur, vive, aigue, profonde, disparue aussitôt que le bulbe eu dépassé l’anneau. En moins d’une seconde, je me trouvais remplie. Étrange sensation que d’avoir le rectum encombré par un gode. Certes, un gode anal, adapté, profilé, chef d’œuvre de design, mais qui avait gavé mon ampoule rectale. Quant à m’approprier cette invasion culière, je n’eu pas ce loisir.
— Regarde ! Je suppose que tu les reconnais ?
Oh que oui ! Comment les oublier ces boules de geisha, cadeau riche et précieux de Janine à Colette, dont ...
... j’avais éprouvé l’autre fois les effets ? À ma grande surprise, leur admission s’est faite en douceur. Mon entaille dolente les absorba sans peine. Ce fut à l’intérieur qu’elles se révélèrent encore plus exigeantes que dans mon souvenir. Au creux de mes entrailles, entre fesses et pubis la place était comptée et je sentais, déjà, les nouvelles entrantes lutter contre le précédent.
— Allez, hop ! On se lève, a conclu ma Maîtresse. Il est temps de rentrer.
Me remettre debout fut en soi un exploit où j’aurais échoué sans son aide amicale. À peine sur mes pieds, sarabande et contrainte ont bientôt débuté. Le moindre mouvement excitait les petites diablesses roulant dans mon vagin, tressautant et heurtant leur voisin à travers la paroi de mes brûlants viscères. De chocs en vibrations, de spasmes en frissons, au bout de quelques pas mon ventre était en fête. Quelques mètres plus loin vint un premier orgasme, et dans cet équipage, j’ai suivi le chemin pentu et épineux nous ramenant au port…
Deux mains fraîches se posent sur mes yeux. Un instant mon cerveau hésite entre le rêve et la réalité. Une tendre fragrance caresse mes narines et une bouche douce m’embrasse sur la joue. L’effluve citronné que reconnaît mon nez et la voix décidée qui chante à mon oreille me ramènent au présent sans me laisser de doute.
— Viens dîner ma chérie, tu dois être épuisée. Tu te reposeras, ce soir, je le promets. Mais cette nuit, Marie et toi je vous veux sur ma couche. J’ai hâte de vous voir ...