Deux fessées, et la suite !
Datte: 27/05/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
caresses,
fgode,
fdanus,
jouet,
Partouze / Groupe
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Que c’est bon de prendre une douche ! Non, mais, vraiment ! On devrait élever une statue à celle – je suis sûre que c’est une femme – qui a inventé la douche chaude. Que dis-je, une statue ? Non, dix, cent, mille ! Et lui donner le prix Nobel ! À titre posthume sans doute, hélas ! Sinon, je l’embrasserais, je la couvrirais de caresses, je lui offrirais les plus suprêmes plaisirs. Je la doucherais, tiens !
Bon, je m’égare… Mais je l’apprécie, cette douche, et je fonds de reconnaissance envers ma Reine, Martine, et notre hôtesse, Colette, qui ont bien voulu m’octroyer ce délassement de mes muscles trop sollicités. En disant mes muscles, je ne parle pas que de mes mollets et de mes cuisses, mes muscles vaginaux aussi étaient exténués. Quand il s’est donné longtemps et sans réserve, tout minou, même aguerri, a bien le droit d’être fatigué.
Certes, il ne faut pas compter sur une toilette dans le secret de sa solitude. Ce n’est pas le genre de la maison. Toute activité doit se faire au vu et au su des copines, c’est la règle. En conséquence, les soins que je prodigue à ma chatte et à mon cul ont, comme pour le reste, un public constant de coquines intéressées, qui ne rechignent pas, d’ailleurs, à me prêter leurs mains. Cela ne me gêne guère, à vrai dire, et, pour être tout à fait honnête, participe plutôt à mon plaisir en flattant mon exhibitionnisme. Mais puisque celui-ci aiguise de son côté le voyeurisme assumé de mes spectatrices, ...
... tout est bien.
C’est surtout Marie qui s’empresse de m’apporter son aide dès que mes doigts s’approchent de mes lèvres – « du bas », comme elle dit – ou de ma rosette. Elle prétexte avec tant de sincérité une sollicitude inquiète pour l’état des unes et de l’autre que l’on serait presque tentée de la croire. En réalité, elle s’achète à bon compte une raison irréfutable de fourrer une fois de plus ses menottes au plus profond de mes intimités. Évidemment, les mêmes causes produisant les mêmes effets, j’en suis quitte pour toiletter à nouveau les endroits visités, en dépit de leur extrême fatigue qui les rend d’autant plus sensibles aux émois. Dire que je suis proche de m’effondrer est un aimable euphémisme.
Enfin, Martine vient mettre un terme à cette situation ambiguë en requérant l’hypocrite pour le service de Soumise auquel elle s’est astreinte pour accompagner Colette dans cette tâche. Il s’agit en l’occurrence de rincer les tenues de ces dames, qui n’ont plus qu’un lointain rapport – les tenues, pas les dames ; quoique… – avec leur blancheur initiale, pour en expurger la poussière avant d’accorder à ces tuniques un rapide tour de lessive bienvenu. La plus coquine partie, je devrais avoir la paix pour me sécher.
Eh bien non ! À peine fais-je mine de m’emparer d’une serviette que Janine et Anaïs se précipitent pour m’en apporter deux. Une autre illusion : je croyais avoir le droit de choisir la plus douce, que nenni ! L’une m’éponge par devant, l’autre me sèche par ...