1. Deux fessées, et la suite !


    Datte: 27/05/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, fgode, fdanus, jouet, Partouze / Groupe Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... derrière. Au fond, ce n’est pas désagréable. Anaïs me tamponne délicatement les seins et le pubis ensuite. Pas la chatte ? Mais si ! Elle y porte même assez d’attention pour qu’aucune infime goutte ne se dissimule plus dans le moindre repli. J’ai lu quelque part que dans certains hôtels de haut standing pour clientes esseulées, les soubrettes se dévouent pour leur rendre les ablutions aussi agréables que possible. Il y aurait, paraît-t-il, des formations spécialisées à l’intention des plus prometteuses employées… Il faudrait que je me renseigne sur les tarifs de séjour. Ou peut-être, pourrais-je proposer mes services comme terrain d’entraînement en échange de la gratuité des nuitées ?
    
    Pendant que Anaïs s’occupe de ma partie face, Janine m’essuie le dos, et, avec un soin tout particulier, les fesses, lesquelles lui inspirent une observation mi ironique, mi attendrie.
    
    — Houlà, ma grande !
    — …(Ce qu’elle peut m’énerver en m’appelant ainsi ! )
    — Elle ne t’a pas ratée, Bénédicte ! Tu as encore les traces de ses mains sur le cul. Tu marques autant que ça, d’habitude ?
    
    Ce que j’en sais, moi ? Colette m’avait fessée lors de ma première visite. Il me semble qu’elle avait fait une remarque du même ordre. De toute façon, la sienne n’avait rien de comparable avec celle que m’a infligée Bénédicte. Là, c’était une vraie fessée cul nu, m’avait-t-on dit. Le commentaire amusé de Janine me le rappelle.
    
    Le souvenir s’efface aussitôt tandis que des mains expertes me nouent une ...
    ... serviette en turban sur les cheveux. Sage précaution, sans doute, pour accélérer au mieux le séchage, mais je n’ose penser à la ridicule mise en plis qui en sortira. La plus grande serviette est elle aussi mise à contribution pour m’accompagner jusqu’au transat où elle est jetée telle un plaid. Je m’y allonge à mon tour avec délice pour siroter une boisson anisée qui est, de l’avis unanime des gens du cru, la meilleure arme contre la soif.
    
    Le reste de la troupe savoure le même apéritif en pépiant gaiement le commentaire de la journée. Colette et Marie s’affairent aux fourneaux. Je me désintéresse des conversations. Sans besoin de longs voiles, ma peau nue se caresse à l’air tiède du soir… Je m’enfonce confortablement dans ma chaise longue, et je laisse remonter le cours de ma mémoire. Les images ne tardent pas à revenir.
    
    Mon troisième baptême ondiniste était accompli. Ointe cette fois sur le chef, j’avais bu cette consécration. J’avais gardé en bouche une saveur salée et une acidité légère assorties d’une note ferreuse. La réalité est souvent moins pire que l’idée qu’on s’en fait, disait quelqu’un. J’avais avalé le pipi d’Anaïs directement de la productrice à la consommatrice et je n’en étais pas écœurée. J’avais seulement accédé à un niveau supérieur de mon parcours initiatique.
    
    Mais l’apprentissage est un long chemin, il me restait d’autres étapes à franchir. La suivante s’est présentée dès que les doigts de Colette, nettoyés par mes soins, eurent quittés ma bouche. ...
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