1. Deux fessées, et la suite !


    Datte: 27/05/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, fgode, fdanus, jouet, Partouze / Groupe Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... plus que je l’espérais. Mes jambes repliées et mes chairs exposées dépliées, caressées, masturbées, pénétrées… Ma poitrine flattée et ses globes durcis roulés, massés, gobés, câlinés ou pétris… Mes chevilles reprises et mes pieds écartés léchouillés, chatouillés, mordus ou suçotés… Et sur ma bouche ouverte un bâillon odorant m’abreuvait de ses sucs aux parfums enivrants.
    
    Deux langues sur mes seins lutinant les tétons, deux langues sur ma chatte et mon cul se disputant la place, autant sur mes orteils et la mienne plongée dans un fourreau moelleux, un million de frissons me traversaient le corps. Ondes qui remontaient de mon ventre à mes seins, ondes qui descendaient de ma gorge au vagin, ondes qui parcourraient mes jambes et mes cuisses, qui toutes se mêlaient dans un tourbillon fou où mes sens se perdaient. L’orgasme approchait dans cette ronde intense, je le sentais me prendre, j’allais me libérer et exploser enfin. La mine a fait long feu, les langues sont parties, la vulve m’a quittée.
    
    D’autres sont revenues et les ont remplacées. Je l’ai compris aux goûts qui changeaient dans ma bouche. Elles se relayaient. Mes coquines compagnes chevauchaient tour à tour ma tête et m’embrassaient partout où j’étais plus sensible. Aux lèvres douces qui me broutaient minou et troufignon ont succédé des doigts qui prenaient l’un et l’autre. À nouveau, le maelstrom m’a saisie. À nouveau, bien plus vif, l’orgasme est remonté. Mais je ne luttais plus si jamais j’ai lutté. Je me suis ...
    ... laissée emporter par la vague sans que pour autant la tempête ne cesse. Chacune de mes sœurs désirait se repaître de chacun des endroits qui me faisaient vibrer.
    
    J’ai joui, j’ai joui, je ne sais combien de fois en tout. C’était comme un plateau au sommet des nuages, c’était comme une trombe au-dessus des nuées. Je volais, je planais, je criais, je pleurais, je riais, je priais, j’exultais… Et je suis retombée. Plus besoin de bandeau, mes yeux ne voyaient plus. Plus besoin de bâillon, ma bouche était muette. Mon cerveau débranché, je n’entendais plus rien. Une petite mort que mon corps démentait par des frémissements que je ne sentais pas. Le vide sidéral après la plénitude de l’orgasme infini…
    
    — Chantal ? Hé ho, Chantal ! Il faut te réveiller, sinon tu n’apprécieras pas ce qui va te combler.
    
    Oui, j’ai ouvert un œil, et puis les deux. J’ai repris connaissance. J’étais moulue, vannée, mais mon cœur repartait. Ma vue est revenue et mon ouïe aussi. J’entendais des soupirs et des souffles oppressés. Celle qui me parlait était bien sûr Martine, ou Maîtresse Martine, car je me suis reprise en mon for intérieur, Soumise en pensée autant que dans mes actes. Autour d’elle j’ai vu des visages montrant des traces de fatigue. Je n’étais pas la seule à m’être réjouie, mais ma figure à moi, je crois, les battait toutes. À une contre sept, j’étais vaincue d’avance !
    
    — Replie donc les genoux sur ton ventre, et écarte les bien, s’il te plaît, a repris ma Maîtresse.
    
    Sans doute ...