1. Deux fessées, et la suite !


    Datte: 27/05/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, fgode, fdanus, jouet, Partouze / Groupe Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... il me prit par surprise. Une vague soudaine reflua de mon ventre, du plus creux de mon être pour m’envahir entière, submergeant ma poitrine et noyant mon cerveau. J’aurais voulu crier, je ne le pouvais pas, et je n’en sentis plus tout à coup le besoin. C’était comme une immense et douce ouate, un nuage de plumes dont je m’enveloppais, un édredon douillet calmant le corps et l’âme. Disparue, la chaudière qui tourmentait mon sexe, l’orgasme avait éteint, ou presque, son brasier. Dans ma chatte aux ardeurs un instant apaisées, j’en gardais la chaleur, la sensibilité, et le désir tenace de les renouveler.
    
    Il fallut que l’on m’aide pour qu’enfin je me lève. Marie m’a soutenue, une main cramponnée dans mon aisselle moite, l’autre entre mes cuisses et crochant mon entaille. Un bras pesant sur ses épaules, je l’ai laissée jouer, trop heureuse de me sentir fouillée, tandis que nos compagnes défroissaient et remettaient en place le carré de tissu qui me servait de scène. Cette fois je devais m’agenouiller dessus et m’offrir fesses hautes à la seconde punition. Pour bien les présenter, j’ai pris la position devenue coutumière du ventre près des cuisses, reins creusés et épaules à terre. J’avais pris l’habitude de la pose humiliante qui expose à l’envi le fond de la soumise. Maîtresse Martine a ajouté quelques raffinements.
    
    Tout d’abord, sous prétexte que mes pieds traînaient dans la poussière, elle m’a ordonné d’avancer les genoux. Sur le tapis trop court, c’était le haut du corps ...
    ... qui du coup dépassait et mes seins s’écrasaient sur les plantes de thym et autres herbacées aux épines taquines. Puis, mes cuisses se trouvant, à son goût, trop serrées, j’ai dû les écarter sans espoir de cacher la moindre de mes failles. Enfin, j’utilisais mes mains en guise de coussin. Cela ne lui convenait pas. J’ai allongé les bras en croix, posé la joue à terre, et attendu ainsi la sanction méritée.
    
    — Voyons, voyons, chantonna ma Maîtresse. La position est bonne. Est-ce que je n’oublie rien ? … Ah, mais si, reprit-elle. Avec une novice, il vaut mieux tout prévoir. Janine et Colette, si jamais elle bouge, tenez-lui les chevilles, et vous, Anaïs et Marie, les poignets. Ne vous inquiétez pas, mes puces, elles vous relaieront, vous ne perdrez rien de moins du spectacle.
    
    À entendre les voix joyeuses de celles qu’elle venait de désigner, j’ai supposé que sa proposition devait faire recette. Il ne lui restait qu’à finaliser sa mise en scène.
    
    — Andréa, ma belle, tu es la plus confortable. Couche toi sur le ventre, tes fesses me serviront de siège. Béné, ma chérie, celles de Chantal sont à toi !
    
    La « chérie » s’est installée comme Marie l’avait fait, mais sur mon dos. Je n’avais plus la ressource de la vue et des arômes d’une chatte pour me consoler de la peine à venir, seule la contemplation de la nature environnante pouvait distraire mes craintes. Je les ai regardés intensément, ces arbres et leurs feuilles, ou leurs aiguilles, à travers lesquelles jouait le soleil ...
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