Deux fessées, et la suite !
Datte: 27/05/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
caresses,
fgode,
fdanus,
jouet,
Partouze / Groupe
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... tout doucement. De bénigne, voire agréable, aux premières gifles, elle était devenue peu à peu carrément agressive.
Curieusement, le bruit aussi avait changé, de sec et vif au début, il virait maintenant au mat et mouillé. Je serais les dents pour retarder les inévitables cris qui montaient dans ma gorge mais je pouvais parfaitement comprendre la raison de ce changement de son. L’avalanche de claques continuait pourtant, sans tenir compte de la modification de couleur et de consistance de leur cible. Marie me semblait prendre un plaisir de plus en plus évident à me fesser le con, et le parfum dégagé par le sien, en s’exaltant, m’en confirmait l’hypothèse. La douleur aussi s’amplifiait. À ma grande honte, déjà des plaintes sourdes filtraient de mes lèvres fermées.
J’aurais voulu me tordre et tortiller dans l’inutile espoir d’échapper à la grêle, ou au moins le tenter. Las ! Andréa me tenait solidement les jambes et mes bras refusaient d’abandonner mes reins. Mes genoux retenus, mes épaules bloquées, mon corps n’avait d’autre ressource, pour marquer son émoi si ce n’est son plaisir, que de sauter en l’air et offrir son bassin aux mains qui le claquaient. Et elles le claquaient ! Sans discontinuer ! Je n’aurais jamais cru que de si jolies mains auraient su m’infliger une telle douleur. Je n’aurais pas non plus pu éviter de crier si Marie ne s’était assise sur ma tête. Le nez dedans la raie et bouche sur cramouille, je respirais son cul et aspirais sa mouille. Sous ce ...
... bâillon d’Éros, mes râles s’étouffaient.
Et puis tout s’arrêta, plus de bruit ni de gifles. Mon pubis me cuisait, ma vulve était en feu, les lèvres avaient doublé, le clito me lançait des vrilles lancinantes qui traversaient mon ventre. Un parfum de marée emplissait mon palais. Un autre plus musqué m’inondait les narines quand Marie se leva et libéra mes plaintes. Elle se dit plus tard étonnée d’elle-même mais ne regrettant pas le supplice prescrit car elle était certaine que j’en avais joui. C’était peut-être vrai, je ne m’en souviens pas. Mon crâne bourdonnait, mes yeux s’étaient fermés, d’étranges sensations me parcouraient le corps. Nul lien me retenait mais je ne bougeais pas. J’essayais de reprendre un souffle de raison lorsqu’un attouchement me couvrit de frissons.
À travers mes paupières, je vis que Bénédicte remplaçait Andréa. Elle ne cherchait pas à prendre mes genoux, mais ses doigts fins et longs me caressaient la chatte, déclenchant des éclairs du vagin à mes seins. Frôlements éphémères qui bientôt se muèrent en caresses précises et beaucoup moins légères. Béné avait saisi mon clitoris gonflé, le frottant, le pressant, m’irradiant de douleur et me comblant de joie. L’autre main pétrissait mes lèvres turgescentes d’un massage profond qui me faisait gémir, les embrasant autant qu’elle calmait leur feu sous la mouille gluante dégorgeant de ma fente. Je ne résistais pas. J’acceptais la souffrance, complice du plaisir qui montait peu à peu.
Quand le miracle vint, ...