1. Deux fessées, et la suite !


    Datte: 27/05/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, fgode, fdanus, jouet, Partouze / Groupe Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Martine m’a ordonné de faire le pont et s’est un peu impatientée devant mon air ahuri.
    
    — Mais enfin, tu n’as jamais fait de gymnastique ?! Tu soulèves ton bassin en prenant appui sur tes épaules et tes pieds. C’est compliqué, ça ??
    — Heu, non, Maîtresse. Pardon Maîtresse, je n’avais pas compris.
    — Tu croyais quoi ? Ne t’excuse pas et fais-le ! Les genoux plus écartés, s’il te plaît. Je veux voir ta chatte bien exposée.
    
    Je me suis exécutée de mon mieux, en ouvrant les cuisses aussi largement qu’elle l’exigeait, mais j’avais beaucoup de difficulté à tenir mon corps arqué.
    
    — Tu n’es vraiment pas futée, a repris ma Maîtresse. Cale tes coudes sur le sol pour soutenir tes reins avec les mains. Et n’en profite pas pour te refermer, hein !
    — Attends, ma chérie ! Je vais l’aider à garder la position, s’est proposée Andréa.
    — Grosse vicieuse, tu veux être aux premières loges, riait Janine en la regardant s’asseoir.
    
    Andréa s’est placée entre mes jambes, mes pieds de part et d’autre de ses fortes hanches, et m’a rudement empoigné le haut des mollets pour les bloquer. Je sentais ses orteils caresser mes fesses. Certes, elle avait une vue imprenable sur mafoune, mais ce n’était pas une nouveauté pour elle. Pour quelle raison serait-elle aux premières loges ?
    
    — Très bien Andréa, merci. Empêche-la de bouger. C’est parfait pour la première fessée de Madame. Marie, à toi l’honneur !
    
    Ma puce regardait Martine en essayant de saisir le sens de sa proposition. Moi, je ...
    ... commençais à m’en faire une idée. Une conjecture pas du tout rassurante, qui s’est vite concrétisée.
    
    — C’est toi qui vas appliquer la sanction, Marie, lui expliquait ma Maîtresse. Tu t’agenouilles au-dessus de la punie à bonne distance de sa chatte pour atteindre celle-ci avec tes mains. Tu la gifles à mon signal et tu ne t’arrêteras que lorsque je le dirai.
    — Ah ouiii ! J’ai compris !
    
    Il y avait dans sa voix une joie et une excitation qui m’ont fait frémir. Elle m’a enjambée, ses fesses vers ma tête. Elle s’est installée, ses genoux contre mes bras. Elle s’est courbée, ouverte au-dessus de moi. Elle a effleuré mon pubis, pour prendre la mesure. Elle s’est redressée, dans l’attente de l’ordre. Mes narines ont retrouvé ses odeurs intimes. J’ai profondément inspiré ces effluves qui faisaient palpiter ma vulve malgré l’appréhension qui me gagnait.
    
    Je n’ai pas vu le signal. J’ai vu le cul se lever et j’ai ressenti la claque sur mon sexe. Pas grand-chose, en vérité, même pas cuisant. Une autre a suivi, pas plus appuyée. Je pensais entendre houspiller la fesseuse pour son manque d’entrain, mais rien n’est venu sinon la succession des claques. Une main après l’autre, les paumes et les doigts giflaient ma chatte qui commençait à chauffer. À rougir aussi, sans doute, mais je ne le voyais pas. Je ne voyais que les fesses de Marie monter et descendre de plus en plus vite, et leur sillon frôlait mon nez d’un peu plus près à chaque voyage. La brûlure sur ma chatte, elle, s’intensifiait ...
«1234...10»