Parfums de romantisme
Datte: 23/05/2024,
Catégories:
fh,
jeunes,
grossexe,
fépilée,
amour,
odeurs,
Masturbation
massage,
caresses,
intermast,
facial,
Oral
69,
nopéné,
init,
initiat,
Auteur: Saphirvert, Source: Revebebe
... ceinture tandis qu’elle se déshabillait précipitamment.
En un clin d’œil, nous nous retrouvâmes nus dans le lit, elle assise sur moi. Du liquide séminal dégoulinait de mon méat, lubrifiant mon gland tandis que j’enduisais ma hampe de salive. Elle faisait de même, crachant dans ses doigts pour lubrifier sa chatte.
Elle se positionna sur mon sexe et fit rentrer mon gland, comme accompli le matin même avec un gémissement plaintif. Son visage grimaçait de douleur alors qu’elle essayait de s’empaler davantage et finalement elle se retira d’un coup pour s’affaler sur moi, quelques larmes perlant de ses jolis yeux.
— Je n’y arrive pas, ça me tire trop. Je suis désolée.
— Ça n’est pas grave, tu as entendu ce que t’a dit ta maman ce matin, il faut prendre notre temps. Il n’y a pas d’urgence, murmurai-je à son oreille en la câlinant tendrement pour la réconforter.
Je caressai amoureusement sa peau soyeuse et elle se calma rapidement.
— Ça te dirait un 69 ? lui proposais-je afin de raviver l’ambiance.
— Mmmm, oh que oui ! me répondit-elle avec un grand sourire, les yeux rougis mais pétillants de gourmandise.
Et elle se retourna sur moi pour me présenter sa croupe tandis qu’elle embrassait ma verge qui avait perdu en rigidité au cours de la déconvenue. Le parfum de son sexe se mêlait à une pointe de transpiration résultant de la longue marche de la matinée. Une fois ma bouche collée à ses lèvres, je découvris la fragrance à la fois délicatement poivrée et terriblement ...
... obscène de son cul qui avait lui aussi transpiré. Enivré par ces moiteurs lubriques, je subissais une fellation goulue tandis que ma langue se promenait instinctivement sur le contour de ses lèvres. Il était temps de me reprendre ou alors j’allais jouir sans même lui avoir donné de plaisir. Je décidai alors de la surprendre et d’embrasser son anus. Elle releva brusquement la tête :
— Oh oui… gémit-elle dans un long souffle tandis que je commençais à caresser sa rosette de ma langue.
Le goût n’était pas spécialement prononcé mais la douceur de son œillet en faisait un véritable bonbon sur la langue.
— Mmmm, j’adore, c’est trop bon… fredonna-t-elle au gré d’une mélopée qui semblait suivre les contractions de son œillet assailli de baisers et de coups de langue.
Je retournai alors m’occuper de son sexe et elle me reprit en bouche, suçant ardemment mon gland avant de faire des va-et-vient énergiques le long de mon membre. Je butinais son clitoris fougueusement et en quelques instants nos corps furent parcourus des convulsions de l’orgasme. Elle se releva et vint m’embrasser entre deux essoufflements, sa bouche encore dégoulinante de sperme. Nous étions tous les deux anéantis. Mes bourses étaient douloureuses de s’être de nouveau vidées et ma queue me faisait un peu mal d’avoir été tant sollicitée. Nous sombrâmes dans une sorte de torpeur pendant quelques minutes, blottis l’un contre l’autre. Je m’éveillais d’un coup en sursaut, la tirant de son sommeil en même temps. ...