Parfums de romantisme - Histoires de Sexe

Parfums de romantisme

... Oui, très bien, merci.

La discussion se poursuivit sur lever de soleil qui illuminait cette matinée d’hiver. Alice n’était pas encore levée et alors que nous étions en train de déjeuner, Mona dit à sa Mère :

— Maman, nous avons essayé plusieurs fois mais nous n’y arrivons pas.

Je rougis instantanément, embarrassé par le déballage de notre intimité, mais cela ne sembla pas offusquer Cateline qui lui répondit sans gêne :

— Paul ne parvient pas à te pénétrer ? Mais tu sais, ça n’est pas grave, il faut le temps d’appréhender les choses. Ça viendra, ne t’inquiète pas, tu es sans doute très stressée et ça ne facilite pas les choses.
— Oui, c’est vrai, mais quand même, c’est frustrant de ne pas y parvenir.
— Il n’y a vraiment pas de quoi ma Puce, je t’assure. Je comprends ton empressement, mais vous avez tout votre temps. Quelle position aviez-vous ?
— Eh bien, il a essayé sur moi et derrière moi.
— En missionnaire et en levrette alors. Pourtant c’est ce qui est le plus facile, mais tu as sans doute peur de cette première fois ?
— Oui, quand même un petit peu…
— Alors tu pourrais peut-être essayer de te mettre sur lui, la position d’Andromaque, afin de pouvoir mieux maîtriser toi-même la pénétration.
— D’accord, merci Maman.
— De rien, ma Puce, et n’hésite pas si tu as d’autres questions.

J’étais abasourdi par cet échange médico-sexuel à caractère familial. Mona répondit à mon air décontenancé par un grand sourire et son regard pétillait d’envie. ...

... Toutefois, l’emploi du temps de cette dernière matinée ensemble avant mon départ ne nous laissa pas tellement le temps à rêvasser et nous terminâmes rapidement le petit déjeuner.

Après une longue balade dans une forêt enveloppée d’un romantique manteau neigeux pour atteindre un sommet à la vue majestueuse, nous nous retrouvâmes à table tous les quatre pour le repas de midi. J’étais le centre d’attention de ces trois femmes adorables et mon départ se retarda d’autant plus. Le dessert passé, je me levai pour débarrasser la table mais Cateline m’ordonna de laisser tout cela et d’aller faire mes bagages tranquillement. Je la remerciai pour le repas et montai préparer ma valise.

Mona m’accompagna dans la chambre et usa de tous les prétextes pour me frôler, me toucher ou me caresser tandis que je rangeais mes affaires. Entre postures aguichantes pour « chercher mes affaires sous le lit », attouchements « involontaires » de mon sexe, plusieurs claques fermes sur mes fesses et une jambe posée sur ma valise pour me dévoiler indécemment sa culotte… je bandais dur. À peine avais-je fermé ma valise qu’elle m’enlaça et me dit :

— Un petit câlin avant ton départ ? J’ai envie de réessayer.
— Je ne peux pas résister à de tels arguments, lui répondis-je en serrant ses fesses dans mes mains
— Surtout que tu ne peux certainement pas conduire dans cet état, me dit-elle en palpant mon sexe tendu qui déformait mon jean.
— C’est toi qui es responsable de cet état, répliquai-je en retirant ma ...