Parfums de romantisme
Datte: 23/05/2024,
Catégories:
fh,
jeunes,
grossexe,
fépilée,
amour,
odeurs,
Masturbation
massage,
caresses,
intermast,
facial,
Oral
69,
nopéné,
init,
initiat,
Auteur: Saphirvert, Source: Revebebe
... les vêtements gênants furent rapidement expédiés. Mes doigts parcoururent sa peau délicate, se rapprochant peu à peu de ses seins. Lorsqu’ils effleurèrent ses tétons, un gémissement s’échappa de ses lèvres. Je fis alors rouler ses mamelons entre mes doigts tandis que son souffle s’accélérait. J’appréciai le velouté de sa peau et l’envie de la goûter se fit de plus en plus forte.
Pour ne pas brusquer les choses, je me contentai d’approcher ma respiration seule de ses seins. Mon souffle chaud sur sa poitrine cambra son corps et son téton entra en contact avec mes lèvres. J’en profitais pour le sucer doucement, ses gémissements m’encouragèrent et je pris le temps de goûter chaque centimètre carré de sa poitrine tandis que ma main glissa lentement vers sa culotte que je découvris mouillée. Elle écarta spontanément ses jambes, ce qui mit en contact sa cuisse avec la bosse de mon boxer. Ce contact provoqua chez elle un frisson d’envie et elle commença à me caresser de sa cuisse satinée.
Peu à peu, mes baisers descendirent le long de son ventre et rejoignirent sa culotte déjà humide et délicieusement odorante. Quel délicieux parfum ! C’était la première fois que je sentais cet effluve féminin mais il provoquait déjà en moi une excitation exacerbée. Je décalai peu à peu le tissu afin de pouvoir déguster son abricot que je devinai déjà au travers du fin tissu. Elle serra alors les jambes brusquement, ramenant ma tête près de la sienne. Inquiet d’avoir dépassé ses limites sans ...
... m’en être aperçu, je me confondis en excuses :
— Désolé, je suis allé trop vite, je ne t’ai pas fait mal au moins.
— Non, pas du tout, ce n’est pas toi, c’est moi…
— Que se passe-t-il ? Tu peux te confier à moi, tu sais.
— Eh bien, ce n’est pas facile à dire mais… voilà, j’ai une malformation, mes lèvres intimes sont trop grandes, c’est hideux et je préfère que tu ne voies pas ça.
— Mais ce n’est pas du tout une malformation, chaque corps à ses particularités et ça n’est certainement pas hideux. Je suis certain que tu t’inquiètes pour rien.
— Merci, tu es gentil. Je ne voudrais pas te dégoûter.
— Je peux t’assurer qu’il n’en sera rien. Laisse-moi te déguster et concentre-toi sur ton plaisir.
— D’accord, mais il faudra que tu me dises si ça te dégoûte.
— Oui, promis.
Je l’aidai à retirer sa culotte et plongeai sous les draps pour déguster son sexe dont le parfum enivrant me manquait déjà. Au premier coup de langue, elle poussa un gémissement de plaisir qui me conforta en tant que novice. Ses petites lèvres étaient en effet très saillantes et je commençai par les embrasser et les suçoter. Enhardi par les cris étouffés qu’elle laissait échapper entre deux respirations saccadées, je poursuivis l’exploration de son intimité de ma bouche curieuse. J’essayai plusieurs méthodes : saisir son sexe dans ma bouche grande ouverte, glisser ma langue dans son sillon trempé, la pénétrer de la pointe de ma langue ou aspirer ses lèvres avec les miennes. C’était un délice de les ...