Parfums de romantisme
Datte: 23/05/2024,
Catégories:
fh,
jeunes,
grossexe,
fépilée,
amour,
odeurs,
Masturbation
massage,
caresses,
intermast,
facial,
Oral
69,
nopéné,
init,
initiat,
Auteur: Saphirvert, Source: Revebebe
J’avais 25 ans, elle en avait 18. Nos regards s’étaient croisés lors d’un campus politique mais les festivités ne nous avaient pas laissé le temps de faire connaissance. Une fois de retour chez elle, elle m’avait retrouvé via Facebook. C’est ainsi que nous avions fait connaissance virtuellement, faisant fi des 700 km qui nous séparaient. Au fil des conversations, un attachement s’était vite créé, bien vite empreint de passion et de sensualité. Nous échangions des photos où chacun notre tour, nous nous dévoilions un peu plus en nous gardant bien d’afficher une nudité totale. Quel délice que de se découvrir aussi progressivement avec autant de lenteur… le désir en était attisé au plus haut point. Forcément, le moment vint ou l’envie de se rencontrer était devenue trop forte.
Ma première vraie rencontre avec Mona était donc l’aboutissement d’une longue attente, avec d’autant plus d’envie que c’était notre première relation à tous les deux. Après sept heures de route, j’arrivai enfin chez elle et elle vint aussitôt m’accueillir. Elle était ravissante, de longs cheveux châtains légèrement ondulés couraient sur ses épaules. Sa silhouette fine était habillée en jeune fille très sage, un peu intimidée après ce long début virtuel. Son gracieux visage aux traits fins et élégants entourait un regard brûlant d’envie et contrastant avec son apparence générale très candide.
Romantisme d’une première relation obligeait, nous nous étions entendus sur le fait de ne pas nous embrasser ...
... dans la rue pour réserver notre premier baiser à un lieu plus intime. Arrivé dans la maison, je saluai Cateline, sa mère, divorcée. Après une rapide présentation, elle nous laissa faire plus ample connaissance. Je suivis Mona dans l’escalier et nous arrivâmes dans sa chambre. Le moment tant attendu était arrivé, nos regards s’embrasèrent, nos doigts s’effleurèrent, nos mains s’unirent et nous nous embrassâmes tendrement, longuement, intensément. Nos lèvres se savouraient mutuellement tandis que nos langues se mêlaient dans un jeu de désir croissant. Ainsi enlacés, l’après-midi laissa place au soir alors que nous étions toujours bouches collées, l’étape des caresses timides débutant à peine. Nous fûmes alors interrompus dans notre idylle par la voix de Cateline qui nous appelait à table.
Au cours du repas, je fis connaissance avec Alice, sa sœur jumelle, et tout comme sa Maman, elle se montra charmante et très accueillante à mon égard. Mona me dévorait des yeux et il m’était difficile, une fois perdu dans son regard de braise, de poursuivre le cours de la conversation. Heureusement, sa mère et sa sœur travaillaient toutes les deux le lendemain et le repas ne se prolongea pas.
Après avoir souhaité une bonne nuit, je passai par la salle de bain revêtir un pyjama puis je la rejoignis dans la chambre. Une fois dans le lit, l’obscurité aidant à masquer notre timidité, le désir se fit plus fort. Nos mains s’égarèrent un peu plus loin, les caresses se firent plus sensuelles et ...