1. Au fond de l'impasse


    Datte: 23/05/2024, Catégories: fh, inconnu, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, champagne, attache, gifle, fouetfesse, aventure, vengeance, dominatio, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... commençait à me branler, je pensais à cette histoire de viol, à cette différence fondamentale entre les hommes et les femmes qui est qu’un homme qui refuse de copuler ne bande pas et qu’on ne peut le forcer alors qu’une femme peut toujours être pénétrée, excitée ou non. Et je me disais que bientôt, Ingrid s’apercevrait que ses manipulations ne servent à rien et qu’alors, la torture et la vengeance recommenceraient.
    
    Pourtant, sa petite main chaude était d’une douceur infinie et quand je baissai les yeux vers le bas, je vis que ma queue durcissait et grossissait comme elle avait l’habitude de le faire, une sorte de trahison incompréhensible pour le reste du corps et pour l’âme meurtrie qu’il abritait. Ses doigts roses et charnus, ses ongles pâles enserraient de belle manière mon engin sombre dont le gland rose lui aussi était devenu un beau suppositoire. Peut-être que le parfum qui se dégageait d’elle était aphrodisiaque, ou alors j’étais seul à m’occuper de ma queue depuis si longtemps qu’elle se dépêchait d’exploiter la moindre possibilité de se retrouver à l’abri et d’ailleurs elle y fut bientôt.
    
    La tenant bien droite par la base, Ingrid m’enjamba et se laissa descendre sur ce mat ainsi dressé en écartant à peine son peignoir. J’aurais préféré qu’elle se déshabille entièrement, mais visiblement, ce n’était pas le moment de revendiquer. D’un coup je fus en elle et ce fut une nouvelle surprise, elle était parfaite, son con bien mieux adapté à ma morphologie que celui de ...
    ... Nadine, ma seule référence. Chacun trouve chaussure à son pied, dit le dicton, je venais de trouver le vagin qu’il me fallait. Aussitôt j’oubliai tout, les cordes, les gifles pour ne penser qu’à cette sensation incroyable. Je ne voulais plus jamais sortir de là.
    
    Je sentais ses grandes lèvres contre ma peau, ses grosses fesses reposant sur mes cuisses. Ainsi installée, elle était plus grande que moi coincé sur ma chaise et mon visage s’enfonçait entre les deux pans du peignoir, contre sa peau douce et chaude, juste au-dessus des seins. Ses mains m’entourèrent d’abord le cou, puis cela lui sembla peut-être trop intime et elle attrapa une poignée de cheveux pour se retenir au moment où elle commença à bouger d’avant en arrière sur moi. C’était un petit mouvement dans un premier temps. Je grognai de plaisir et elle gémit, certainement pour la même raison. Puis le mouvement s’accéléra, elle allait et venait, elle montait et elle descendait, elle respirait bruyamment, son con malaxait délicieusement ma bite.
    
    Cela dura un moment, c’était très agréable pour moi, mais ce devait être épuisant pour elle, avec ses hanches lourdes, ses seins qui se balançaient contre ma poitrine et ses pieds qui ne touchaient pas le sol. Finalement, soufflant comme un phoque, elle s’arrêta, laissa retomber sa tête contre moi, approchant sa langue de mon oreille.
    
    — Je te voulais, me dit-elle en reprenant son souffle. Tout à l’heure sous ma douche, j’ai pensé à toi, à tes réponses raisonnables et ...
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