1. « Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (27) : Les aman


    Datte: 21/05/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... Vespasien. Vespasien avait été un compagnon d’armes d’Aulius Plautius et d’Hosidius Geta, le mari de Fausta. C’est par l’intermédiaire de Fausta que se fit ce mariage. Argentaria Polla, très amoureuse de Lucain, ferma les yeux sur la liaison de son époux. De son côté, Lucain, même si cela ne lui ne lui plaisait guère, devait accepter aussi bien la liaison entre Tullia et Epicharis que les infidélités de celle-ci.
    
    ***
    
    Tullia, Lucius et Martial ne se sont pas aperçus du départ d’Epicharis et Lucain. Ils sont là, eux, pour baiser. Depuis la natatio, Tullia ne s’est pas embarrassée de remettre un vêtement. Tout le monde sait ce qu’elle fait dans la pièce qui lui est réservée en tant qu’evergète des Thermes de Baïes.
    
    Elle est impatiente et a vite fait de faire passer par-dessus leur tête la tunique des deux jeunes gens. Ceux-ci affichent une belle érection. Tullia sait, qu’instruit par Fausta, Martial a déjà une certaine expérience. Il lui revient de faire l’éducation de Lucius. Ce jour-là, elle renouvelle l’expérience qu’elle avait eue, quatre ans auparavant, avec le jeune Néron et qu’elle avait particulièrement appréciée. Elle est aussi excitée par une pensée perverse, celle de mettre ultérieurement Lucius dans les bras de Julia. Elle veut faire en sorte que le jeune homme donne le maximum de plaisir à la nièce de Fausta.
    
    Tullia commence par échanger des baisers langoureux avec les deux jeunes gens, tout en les masturbant. Martial, sachant par Fausta combien Tullia ...
    ... aime les épigrammes érotiques, lui offre un petit poème :
    
    "Tes baisers sont pour l'un, ta main pour l'autre ; enfin, Tu demandes mon choix ? Je préfère ta main."
    
    Tullia porte une attention particulière à Lucius, lui apprenant à maîtriser son impatience et à la caresser. Les doigts de Martial fouillent sa chatte déjà bien ouverte, il doigte Tullia sans ménagement. Le plaisir monte chez la jeune patricienne, Martial lui avoue qu’il ne cesse de penser à elle depuis cette nuit de la Bona Dea, où il n’avait pas osé l’approcher.
    
    Tullia se met alors à genoux devant les deux garçons et commence à les gratifier d’une fellation qu’elle sait contrôler de façon à s’arrêter avant qu’ils ne jouissent.
    
    Quand elle juge que ses deux jeunes amants sont prêts, Tullia se penche sur une table et les invitent à venir la prendre à tour de rôle, en veillant à s’arrêter à temps, car elle veut que ça dure.
    
    A ce jeu, Lucius se montre doué, n’ayant pas à rougir de la comparaison avec son ami Martial, pourtant plus expérimenté. Les deux jeunes hommes sont parfaitement complices. Ils sont fiers de faire jouir la belle matrone qui enchaîne les orgasmes.
    
    Ce sera tout de même Martial qui se montrera le plus endurant. Lucius a encore la force de prévenir Tullia :
    
    • Tullia, je ne peux plus me retenir !
    
    • Je suis fière de toi, mon chéri. Laisse-toi aller. Viens, vas-y, remplis-moi. Je veux ton foutre en moi ! Martial, viens dans ma bouche, je veux te boire !
    
    • Ouiiiiii. Oh que c’est ...
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