« Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (27) : Les aman
Datte: 21/05/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
*** RECIT FICTIF POUR LECTEURS AVERTIS
AVERTISSEMENTS
Cette histoire, construite autour de l’hypersexualité de Tullia, contient forcément des scènes de sexe, quelquefois très « hard », voir brutales et qui correspondent à la psychologie des personnages et aux mœurs de l’époque. Au fur et à mesure de la rédaction des chapitres, j’ai voulu également situer ces personnages dans le contexte et les mœurs de la Rome impériale. Je remercie donc les lecteurs et lectrices qui ne viennent pas ici que pour les passages de sexe, mais qui partagent ce besoin de connaissance.
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RESUME DES CHAPITRES PRECEDENTS
Tullia, jeune patricienne, a été obligée de quitter Rome après la mort de Messaline. Riche et libre, elle gagne Baïes, la cité des plaisirs, où elle donne libre cours à son hypersexualité. Tullia a gagné la protection de la redoutable Agrippine, qui va l’aider à devenir la « reine de Baïes ».
Tullia collectionne les amants, tels Lucius Agermus, intendant de la villa d’Agrippine à Baules, à proximité de Baïes ou encore l’ambitieux Tigellin, futur âme damnée de Néron.
En décembre 54, Tullia a organisé dans sa luxueuse villa, avec le soutien de son amie Fausta, la fête de la « Bona Dea », en principe strictement réservée aux femmes. Tullia a fait venir de nombreux hommes et la soirée a tourné en orgie. Ce sacrilège n’a pas été apprécié par Paulla, la sœur de Fausta, invitée de dernière minute et qui va dénoncer cette profanation ainsi que ceux et celles qui y ...
... ont participé.
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Paulla et sa demi-sœur, sa cadette, Fausta, avaient toujours été très différentes. Paulla avait hérité de la rigueur morale de son père, le sénateur Manius Flavius Paullus, à qui elle devait ses traits ingrats, alors que Fausta, avait, elle, hérité le prénom et la beauté de sa mère, seconde épouse du sénateur.
Paulla, prude et pieuse, aurait aimé devenir vestale, mais son père ne l’avait pas permis, car il avait besoin de renflouer ses finances grâce au mariage de ses filles, avec de riches familles de province. Fausta avait ainsi épousé le futur général Caius Hosidius Geta, d’une famille d’Histonium, un port proche des Abruzzes. Quant à Paulla, elle était devenue l’épouse de Sextus Iulius Atticus, un Gallo-Romain de la Provincia, dans le sud de la Gaulle. L'octroi de la citoyenneté romaine aux provinciaux par Jules César, puis par les empereurs Julio-Claudiens, a diffusé le nom Iulius dans l'Empire, particulièrement en Gaule romaine, où de nombreux Gaulois naturalisés adoptent ce nom. Paulla a pris sur elle pour remplir ses obligations de matrone, en donnant à Atticus une fille, naturellement prénommée Julia, qui a hérité de la blondeur et de la beauté de ses ancêtres gaulois. Devenue veuve, Paulla refuse de se remarier et se tient loin de toute relation, la chair lui faisant horreur, comme le mode de vie de sa sœur Fausta, avec qui elle a maintenu les liens dans l’espoir que son immense fortune revienne à Julia, sa seule héritière.
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