1. Walk on the wild side


    Datte: 21/05/2024, Catégories: fh, fhh, frousses, couplus, sexshop, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Ericcontact, Source: Revebebe

    ... posant son menton à nouveau sur ses mains.
    — Oui, j’ai compris. Et non, je ne t’en veux pas. Il y a nous et ensuite il y a nos jeux. Ce sexe était un jeu.
    — Tu n’es pas… jaloux ?
    — Parce que tu as joué avec un autre ? Bizarrement, pas du tout.
    
    Émilie libère alors une de ses mains et celle-ci file tout droit se glisser dans mon jogging. Elle empoigne doucement mon sexe déjà bien érigé et entame alors une lente masturbation.
    
    — Eh bien ! On dirait même que d’y repenser, ça t’a quelque peu excité, non ?
    — Hmm… en effet, dis-je en sentant sa main m’enserrer un peu plus fort à chaque mouvement.
    — C’est quoi qui te fait cet effet ? De m’avoir amenée dans cet endroit pervers et… caressée devant un porno ?
    — Oui… Ahnnn… ça m’a beaucoup plu…
    — Mmmmh… moi aussi… Et puisque depuis quelque temps je sais que tu aimes que je parle de manière obscène, je dirais que… j’ai adoré que tu me branles la chatte comme ça…
    — Hnnnn… continue…
    — J’ai adoré écarter les jambes pour que tu me caresses le clito et que tu me fourres tes doigts en moi…
    
    Elle accélère de plus en plus, comprimant mon sexe vraiment très tendu dans sa petite main.
    
    — Ça t’a plu que je te laisse me branler comme ça, comme ta petite salope rien qu’à toi ?
    — Ahnnnn, oui…
    — Et dis-moi maintenant, tu as aussi aimé me voir toucher le sexe de ce mec ?
    — Mhhh… Oui… oui…
    — T’as aimé me voir le branler en même temps que toi tu me le faisais ?
    — Ahnnn… oui…
    — T’as vu qu’il… était plus gros que toi non ? Ça ne t’a ...
    ... pas rendu fou de voir ma main sur cette grosse bite ?
    — Ahnnn, non, je…
    
    Et dans un dernier va-et-vient, je jouis, sa main accompagnant mes saccades en serrant mon sexe comme jamais.
    
    ***
    
    — Bon ! Tu crois qu’ils vont bientôt arriver ces steaks ? Tavernier ?
    
    La voix qui beugle c’est à nouveau Clément. Et à côté de lui les six autres affamés ce sont les mêmes amis qui étaient là il y a quelques jours.
    
    — Et si tu fermais ta grande gueule Clément, tu crois que les steaks cuiraient plus vite ? réponds-je sans lever les yeux du barbecue.
    
    Un silence étrange me les fait lever, en direction de la table. Les six invités me regardent comme si je venais de remporter la coupe du monde de football. Seul face aux onze du Brésil. Debout et arrivant de la cuisine, Émilie me regarde aussi, mais elle sourit, et dans ses yeux je lis à la fois de la fierté et… un brin de coquinerie…
    
    — Eh beh ! intervient alors Leila, notre Yann à bouffé du lion ce matin ou alors…
    
    Elle se tourne vers Émilie.
    
    — Tu lui as fait quoi toi, morue, pour lui faire pousser une paire de couilles de cette taille ?
    
    Émilie pose les pommes de terre grenaille au centre de la table sans mot dire, mais en surjouant un air satisfait.
    
    Nos invités nous regardent, et se regardent.
    
    — Ça va, on va pas en faire un fromage parce que Yann, pour une fois, a répondu à une vanne, non ? dit un Clément limite encore vexé.
    — T’es jaloux chéri ? lui demande Leila ?
    — Pourquoi ?
    — Bin, parce qu’en quatre ans ...