Walk on the wild side
Datte: 21/05/2024,
Catégories:
fh,
fhh,
frousses,
couplus,
sexshop,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Ericcontact, Source: Revebebe
... c’est offert pour les couples.
Cabines ? En bas ? On se regarde avec Émilie. Décidément ni elle ni moi ne savons de quoi il parle, mais il a déjà disparu. Émilie me montre un escalier et un panneau « Cabines de projection ». Sans mot dire, on s’interroge du regard, et son sourire plein de curiosité me donne la réponse. On descend à pas de loup dans un petit labyrinthe de couloirs où tous les trois mètres des portes donnent sur des cabines équipées d’un fauteuil large en similicuir et d’un écran vidéo. La pénombre règne et au milieu de ce dédale, des sons de films pornos jaillissent de toutes les cabines, s’entremêlant dans un brouhaha pervers.
— Tu veux essayer ? lui demandé-je ?
— Bah, à y être, me répond-elle toujours souriante, et en m’entraînant dans la cabine.
Je verrouille la porte et on s’installe. L’endroit sent le détergent industriel mais ça n’est pas désagréable. Émilie est contre moi, sur le fauteuil, et commence à pianoter sur les commandes qui sur l’écran donnent accès à une bibliothèque immense de vidéos.
Elle s’arrête sur une sectionvoyeur et ensuite sur un film d’amateurs filmés soi-disant à leur insu. Elle me regarde, sourit encore et le film démarre.
Première scène, quelqu’un filme un couple par-dessus une clôture qui visiblement s’amuse bien dans leur jacuzzi. C’est surtout le visage d’Émilie accaparée par la scène que j’observe. Elle scrute, se mord la lèvre, avance un peu puis se contorsionne sur le fauteuil au fur et à mesure que le ...
... couple continue ses ébats. Et quand le monsieur jouit enfin dans la bouche de la femme, Émilie continue mais la bouche entrouverte de se contorsionner subtilement contre moi.
Deuxième scène, cette fois le voyeur visiblement bien renseigné tourne autour d’une maison d’une banlieue californienne. Eh ! Ô miracle : par la fenêtre de la chambre, il surprend cette fois une femme dans la quarantaine avec non pas un, mais deux messieurs, visiblement très en forme et ravis que la dame en question leur offre sa bouche et son intimité en guise d’orifices. Émilie n’en perd pas une miette, s’immergeant dans la scène assez rapidement, je dois dire.
Elle penche la tête un peu, scrute encore. Je tente alors une petite idée qui me trotte dans la tête depuis quelques minutes : posant la main sur sa cuisse contre la mienne, je remonte vers l’entrejambe doucement. Sans quitter l’écran des yeux, Émilie écarte alors légèrement les jambes, m’autorisant en silence à continuer. Je la caresse délicatement par-dessus le legging, continuant mon ascension, puis je passe ma main sous l’élastique. Émilie s’enfonce un peu plus dans le fauteuil, glissant son bassin en avant. Elle ne quitte toujours pas la scène des yeux et me laissant le champ libre, j’accède à sa douce toison, puis trois secondes plus tard à ses lèvres humides.
Elle se mord encore la lèvre inférieure, halète, au fur et à mesure que mes doigts titillent, caressent et s’immiscent en elle. Accompagnant de ses hanches le mouvement de ma ...