My blue swedish shoes
Datte: 16/05/2024,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hotel,
caresses,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... syllabe. Je lui demande confirmation :
— Vous venez de dire quoi ? Loulou ?
— Naaan, c’est Louloute que j’ai dit.
— Et c’est quoi, c’est qui ?
Elle met un peu de temps avant de répondre :
— C’est moi…
— Ah bon ? Un petit surnom intime ?
— Oui, c’est ça… oh, ça fait longtemps qu’on ne m’a plus appelée comme ça…
— Votre premier mari, je suppose ?
— Oui, c’est lui… C’était un peu vulgaire, mais ça me faisait de l’effet… Le seul homme qui savait me faire lâcher prise… Vous lui ressemblez un peu…
Je commence à comprendre certaines choses. Je continue ma valse avec elle, puis à la musique suivante, le Président vient me l’enlever. Elle lui adresse un beau sourire, et se laisse à nouveau griser par la danse.
Soyons réalistes, Rachel est légèrement pompette. Elle continue de danser avec diverses personnes, sans toutefois chanceler. Disons qu’elle est gaie, et plus libérée. Je parie qu’elle a oublié qu’elle est mariée. Elle a envie de s’amuser, c’est ce qu’elle est en train de faire, tout en restant class.
Une grosse heure plus tard, voyant qu’une bonne partie des invités sont repartis, nous prenons congé à notre tour. Nous retournons à l’hôtel.
Nos chambres étant voisines, j’accompagne Rachel jusqu’à sa porte, lui souhaitant une bonne nuit. J’en profite coquinement pour déposer un baiser sur sa joue, à l’orée de sa bouche. Sa réaction n’est pas négative :
— Bonne nuit, petit filou !
Elle fouille son sac à main :
— Où est cette fichue clé ?
Je ...
... préfère l’aider en lui ôtant le sac de ses mains. C’est vrai qu’on trouve plein de choses dans cet accessoire féminin. J’ouvre la porte, puis je l’accompagne jusqu’au lit, dans lequel elle s’effondre sur dos en pleurnichant :
— Ah Augustin ! Pourquoi m’as-tu abandonnée ?
M’asseyant à côté d’elle, la redressant un peu, je la prends dans mes bras pour la consoler. Elle renifle un bon coup, puis elle dit :
— Heureusement que tu es là, Jean-Michel…
Je suis assez embêté, je ne sais pas à qui s’adresse exactement ce tutoiement inopiné. Est-ce vraiment à moi qu’elle s’adresse ? Est-ce une confusion avec son défunt mari ? Autre chose ? Je tente une avancée :
— Oui, je suis là… avec toi…
Je bascule moi aussi au tutoiement, elle ne proteste pas, se laissant câliner par mes bons soins. La chaleur monte en moi, son parfum m’étourdit un peu, sans parler de sa peau, de son corps si proche. Elle renifle une fois de plus :
— Je me sens si seule depuis qu’Augustin est parti…
— Et Roger ?
— Pff, lui, il ne compte pas… J’ai fait une erreur, une grosse erreur… Toi, t’es nettement mieux…
Voici un aveu surprenant, mais qui est loin de me déplaire ! Je la couche délicatement sur le lit, puis je l’embrasse tout aussi délicatement. Elle ne se dérobe pas, ouvrant ses lèvres. Ma main se glisse sous une bretelle de sa robe pour venir cueillir son sein, puis titiller son téton. Elle se laisse patiner, gémissant doucement sous mes doigts voraces.
Oui, elle a de beaux seins, ...