My blue swedish shoes
Datte: 16/05/2024,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hotel,
caresses,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... surtout quand on a le plaisir de les avoir en main pour les caresser, les palper. Juste comme je les aime, ni trop ni pas assez.
Peu après, je décroche la fermeture pour faire glisser sa robe, révélant sa poitrine pointant fièrement. Ses aréoles sont assez larges, ainsi que ses pointes, de quoi nourrir de gros bébés comme moi ! Ma bouche avide s’empare d’un téton déjà érigé, le suçant voluptueusement, tandis que ma main caresse sensuellement l’autre sein, que je lèche et que je suce ensuite. Rachel halète, ses seins se soulèvent, ses pointes durcissent.
Je joue longtemps avec cette belle poitrine dont j’ai pu avoir un aperçu durant toute la soirée. Oui, Rachel est une femme très intéressante, pas trop farouche, aux courbes affriolantes.
Sans cesser d’embrasser ses seins, je glisse ma main le long de sa cuisse. Elle proteste faiblement :
— Jean-Michel, il vaut mieux arrêter…
— Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? J’ai envie de découvrir ton corps, et visiblement, ça te plaît…
— Ce… ce n’est pas une raison ! Je suis mariée…
— Mal mariée, ma toute jolie, mal mariée. Ton mari ne te mérite pas, oh non !
Elle ne répond pas, à moitié inerte, dépassée par la tournure des événements.
Je relève un peu le bas de sa robe, révélant ses cuisses gainées de soie noire, ainsi qu’un peu les attaches du porte-jarretelles. Je remonte un peu plus haut, dévoilant à présent sa petite culotte assortie aux bas. Comme celle-ci est assez translucide, son petit buisson est ...
... apparent, il est même possible de deviner une fente. Je m’accroupis pour embrasser ses cuisses, remontant petit à petit vers son entrejambe. Puis j’appuie mes lèvres sur sa petite culotte, sur sa fente déjà odorante et humectée.
Rachel émet un petit cri, gémissant, tentant de me repousser :
— Non ! Arrête ! Il ne faut pas !
— Toi aussi, tu as envie, ta culotte est carrément trempée. Laisse-toi aller, Rachel…
— Non, il ne faut pas, ce n’est pas bien…
— Nous avons envie l’un de l’autre, Rachel. Nous sommes seuls ici, personne ne le saura, faisons-nous plaisir !
Mettant mes mains sur l’élastique de sa petite culotte, je la tracte vers moi, la faisant descendre le long de ses hanches. À ma grande satisfaction, Rachel soulève ses fesses pour me faciliter la tâche, signe évident de sa capitulation. Peu après, elle m’offre son mignon buisson sans protection. Je dépose plein de baisers brûlants dessus, elle soupire d’aise.
Il ne convient pas d’en rester là. Je dégrafe sa robe afin de l’ôter. Elle se révèle nue, à l’exception de ses bas et de son porte-jarretelles qui la rend encore plus désirable. Je caresse son corps, puis mes lèvres descendent à nouveau vers son buisson. Ma langue plonge dans sa fente afin de dénicher son clitoris. J’entame alors une succession de léchouilles autour de cette mini-colonne, ce qui fait gémir ma collaboratrice bien au-delà de la décence. Quelques coups de langue plus tard, elle se raidit, la bouche ouverte, terrassée par un premier ...