1. My blue swedish shoes


    Datte: 16/05/2024, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, caresses, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... assiette. Rachel découvre pour la première fois la cuisine suédoise qui n’est pas précisément celle de notre pays. Elle comprend mieux pourquoi la plupart des hommes ont une silhouette peu bedonnante.
    
    Comme souvent, en début d’après-midi, vers quatorze ou quinze heures, la journée professionnelle est finie. Avant de nous quitter, le Président nous invite à un dîner-dansant en soirée. Nous nous saluons, puis Rachel et moi sortons.
    
    Une fois dehors, je demande à ma collaboratrice :
    
    — Vous avez une tenue de soirée dans vos bagages ?
    — Ben… pas vraiment, je n’avais pas prévu de ce genre de chose…
    — Pas de problème, allons en acheter une, c’est la boîte qui paye.
    
    Après un détour par l’hôtel pour nous renseigner, nous nous rendons ensuite dans un magasin de vêtements réputé. En effet, j’ai presque l’impression de mettre les pieds dans une boutique de Haute-Couture !
    
    Rachel explique la situation, elle se débrouille mieux que moi en anglais et en suédois. La vendeuse nous propose plusieurs modèles assez échancrés, ce qui n’est pas pour me déplaire. Rachel grimace un peu :
    
    — C’est… c’est très sexy quand même…
    — Pas faux, mais notre Directeur aime les femmes sexy et vous êtes censée représenter notre beau pays, phare de la haute couture et du bon goût parisien.
    — Avec une robe suédoise ?
    
    Après quelques essais, Rachel se décide pour une robe rouge, dotée d’une large ceinture, fendue des deux côtés jusqu’à la hanche, retenue par deux bretelles étroites qui ...
    ... s’attachent dans le cou. Il va être difficile de porter un soutien-gorge dans de telles conditions !
    
    Un peu plus tard, lors de notre arrivée au club, le Président complimente chaleureusement Rachel :
    
    — Vraiment délicieuse ! Vous allez être la reine de la soirée !
    
    Elle rougit sous le compliment, devenant la cible de bien des regards. L’image d’un tendre agneau jeté en pâture à une meute de loups me traverse l’esprit.
    
    Diverses tables sont disposées en cercle autour de ce qui semble être une piste de danse, on peut s’asseoir où on veut. Contre un mur, le buffet proposé est copieux, bien que je me demande parfois ce que peuvent être exactement certains plats proposés. De plus, les vins sont bien bien choisis.
    
    Les deux premières fois que Rachel se rend au buffet, elle est aussitôt entourée par des hommes. La troisième fois, elle se penche sur moi :
    
    — Vous pouvez m’accompagner, s’il vous plaît ?
    — Auriez-vous peur de vos admirateurs ?
    — Disons que je ne suis pas très à l’aise…
    
    Je l’accompagne. Je comprends très vite le succès qu’elle a : quand elle se penche pour choisir des mets, les bretelles de sa robe se détendent un peu, et latéralement, on pouvait voir assez distinctement ses seins, voire ses tétons si on est dans le bon axe. Ce qui offre une très belle vision, je découvre d’autres charmes à ma collaboratrice. Je me dis en moi-même que son mari est décidément un crétin…
    
    Je ne sais pas si je dois le lui dire, d’autant qu’elle ne peut pas s’en apercevoir ...
«12...678...15»