1. My blue swedish shoes


    Datte: 16/05/2024, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, caresses, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... d’Augustin dans l’avion.
    — Oui, vous avez prononcé son prénom pendant que vous dormiez.
    — Ah bon ? Je… j’ai dit autre chose ?
    — Non, juste son prénom.
    
    Elle semble soulagée. Je continue :
    
    — Peut-être avez-vous rêvé de lui parce que nous en avions parlé juste auparavant.
    — Oui, ça doit être la raison.
    — Je pense aussi que vous avez dû être vraiment heureuse avec lui…
    
    Elle se met à rougir :
    
    — Oui, c’est vrai… C’est même pour ça que je trouve ma vie actuelle assez fade.
    — Je me mêle peut-être de ce qui ne me regarde pas, mais j’ai l’impression que votre Augustin savait bien s’occuper de vous, et pas uniquement en vous faisant des petits cadeaux…
    — Euh… il était très… amoureux… et moi aussi…
    
    J’essaye d’en savoir plus :
    
    — Et très entreprenant, si je ne me trompe…
    — Parfois trop… À l’époque, ça me gênait parfois… mais avec le recul, je reconnais que sa… euh… fougue me manque…
    — Fougueux, ce que Roger n’est pas…
    — Ben… pas vraiment…
    — Je compatis !
    
    Je comprends que je n’en saurai pas plus, donc je change de sujet. Environ une heure plus tard, nous regagnons nos chambres. J’aurais aimé avoir une petite bise comme bonsoir, mais ce ne fut pas le cas. Quelque chose me dit que Rachel est plus ou moins en manque, ayant été habituée à être très sollicitée par son ex-mari qui devait être un joyeux luron.
    
    Mais quelle idée d’aller ensuite se jeter ensuite dans les bras qu’un homme aussi routinier ? Pour mieux oublier son premier mari ? C’est une solution ...
    ... comme une autre, mais pas très efficace, si j’en crois ce que je constate chez Rachel.
    
    Je m’endors dans mon grand lit, tout seul. J’aurais bien aimé avoir un peu de compagnie…
    
    Le lendemain matin, après le petit-déjeuner, comme je l’avais annoncé la veille, sous les mains expertes d’une coiffeuse, Rachel change légèrement de look, ce qui la met encore plus en valeur. Elle-même est étonnée du résultat qu’elle contemple dans le miroir. La robe qu’elle vient de choisir complète très bien le tableau final.
    
    Nous nous rendons en taxi au siège de la société, où nous sommes accueillis par le Président que Rachel n’avait jamais vu. Celui-ci s’exclame (en anglais) :
    
    — Ah, enfin, je peux mettre un visage sur cette voix !
    
    Il s’incline pour lui baiser la main :
    
    — Ravissante, vraiment ravissante…
    
    Ma collaboratrice est un peu étonnée, elle s’imaginait rencontrer un vieux plutôt bedonnant, et voilà qu’elle se trouve nez à nez avec un bel homme cinquantenaire, bien bâti, grand comme la plupart des Scandinaves, sportif, dont les yeux bleus s’attardent sans complexe sur sa silhouette.
    
    Je suis prêt à parier plusieurs mois de salaire que mon cher Président ne dirait pas non à une petite aventure avec cette jeune Française…
    
    La matinée est consacrée au travail, même si je constate que Rachel est souvent le point de mire des personnes présentes dans la grande salle de réunion. Le déjeuner qui suit est décontracté, même si je suis encore étonné de ce que je peux trouver dans mon ...
«12...567...15»