1. My blue swedish shoes


    Datte: 16/05/2024, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, caresses, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... orgasme.
    
    Je la laisse se reposer un peu. Quelques secondes plus tard, j’entends sa voix :
    
    — Ah… que c’était bon ! Mon mari ne m’a jamais léchée comme cela ! C’était bon.
    — Il ne sait pas ce qu’il rate…
    
    J’abaisse mon pantalon puis mon slip, révélant ma verge bien raide et arquée
    
    — Et si nous continuons ?
    — Non, il ne faut pas ! Nous avons déjà été trop loin !
    
    Je capture sa main, puis je la pose sur ma tige toute chaude :
    
    — Regarde, sens comme je te désire ! J’ai envie de te donner plein de plaisir.
    — Non, il ne faut pas…
    
    Mais ce n’est pas pour autant qu’elle retire sa main. Rachel est visiblement partagée entre deux options : rester fidèle à son triste mari ou jouir pleinement avec moi.
    
    — Alors, elle te plaît, ma verge ?
    — Elle est…
    — Elle est ?
    — Non, j’ose pas…
    — Vas-y, dis… ça restera entre nous…
    — Elle… elle est plus grosse et plus belle que celle de Roger…
    
    Sans s’en rendre compte, elle est déjà en train de caresser ma colonne. Je la laisse faire, une femme qui branle spontanément sans qu’on le lui demande, ça ne court pas les rues. Soudain, elle réalise ce qu’elle est en train de faire, elle lâche ma verge en rougissant :
    
    — Euh… pardon…
    — Tu faisais pourtant ça très bien.
    
    D’un bond, je m’installe entre ses jambes, frottant ma verge contre ses cuisses. Son regard est à la fois apeuré et fasciné. Je remonte doucement, lentement vers son buisson. Elle murmure :
    
    — Non, fais pas ça…
    — Pourquoi ? Tu en as autant envie que ...
    ... moi…
    
    Je frotte mon gland contre son buisson, le contact est si soyeux, si voluptueux que je suis à deux doigts d’éjaculer ! Maintenant, je me frotte contre son clitoris resté enfiévré. Puis je suis l’ourlet de sa fente déjà détrempée. Petit à petit, je m’enfonce légèrement plus loin. Elle gémit :
    
    — Non…
    — Mais si…
    
    Mon gland disparaît presque :
    
    — Non… oooh !
    
    Je continue ma balade à l’orée de sa fente.
    
    — Oooh, oui… Hmmm, c’est bon !
    
    Puis elle capitule complètement, en murmurant d’une voix très basse :
    
    — T’as gagné, vas-y, enfonce-toi dans ma chatte… j’ai trop envie…
    — Attends que je mette un préservatif, c’est plus prudent !
    — C’est inutile, j’ai eu mes… euh… ragnagnas, en début de semaine…
    
    Ce qui ouvre le champ à diverses possibilités. Je reste volontairement à l’entrée, lui susurrant :
    
    — Allez, dis-le, qu’elle est plus belle que celle de Roger ! Dis-le si tu veux que je te baise…
    — Espèce de satyre !
    — Allez, dis-le !
    
    Elle se décide :
    
    — Oui, j’aime ta belle verge, ta grosse tige. Vas-y, rentre-la entièrement dans ma chatte !
    — Comme ceci ?
    
    Je donne un coup de reins pour m’enfoncer dans son antre dégoulinant. Elle explose :
    
    — AAAAH ! Enfin ! Ah que c’est bon ! Mais que c’est bon !
    
    Je commence mes va-et-vient, ce qui lui fait beaucoup d’effets, si j’en crois son expression et ses tremblements de plaisir. Ses jambes gainées de soie se referment férocement sur mes lombes. J’ai la nette impression qu’elle est en train de rattraper un ...
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