1. Gully Waer et Lil-y Puthe


    Datte: 15/05/2024, Catégories: fh, Collègues / Travail pénétratio, délire, Humour fantastiq, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... ces objets de collection et lui montra son atelier. En fait, seules la tête et les mains étaient en porcelaine, le reste n’était qu’un bourrage de kapok dans de vieux collants. La vieille dame consentit à lui vendre trois ensembles de vêtements conçus pour de futures poupées, à condition qu’il achetât celle en vitrine.
    
    Gérard revint avec ses trésors qui ne plurent guère à Lily, ces vêtements n’étaient pas vraiment à la mode. Cependant, elle lui fit une longue séance d’essayage, debout sur la table, qui ne manqua pas d’exciter le jeune homme au plus haut point. Cette mini-femme le fascinait, surtout lorsqu’elle était nue, bien entendu. L’un des problèmes majeurs qu’ils rencontrèrent fut la nourriture. Lily parvenait à se débrouiller à manger avec ses mains et de petits morceaux de pain, mais elle avait faim sans cesse. En fait, son métabolisme était celui de la « grande » Lily, et elle aurait dû consommer autant de nourriture qu’avant sa transformation, ce qui n’était guère possible en fonction de sa taille. Donc elle mangeait sans cesse mais avait toujours faim, ayant l’impression de n’absorber que du vent. Il fallut que la nuit Gérard descende des plateaux de nourriture au labo et les rétrécisse comme l’orange pour satisfaire les besoins de Lily. Elle fut la première à tester « gustativement » ces produits et assura que le goût n’en était pas modifié.
    
    Gérard prenait soin autant qu’il le pouvait de sa « créature », mais celle-ci savait le remercier et lui offrait ...
    ... chaque nuit des séances délirantes de caresses, étant elle-même très excitée par ce pénis colossal qu’elle manipulait avec délectation. Elle n’avait pas sa pareille, et pour cause, pour le saisir entre ses cuisses et frotter son clitoris sur le méat sensible jusqu’à ce que le colossal Priape crache sa semence. Gérard avait pris un goût évident à ces jeux érotiques et caressait tant bien que mal Lily qui s’offrait volontiers à ses attouchements maladroits. À peine plus haute que la table, elle parvenait à y grimper en utilisant une chaise comme échelle. Elle se débrouillait plutôt bien puisqu’elle pesait toujours soixante kilos et n’avait aucun problème pour bouger la chaise. Pire, la table tremblait et craquait quand elle s’agitait dessus. Là, assise en tailleur face à son presque amant, elle prenait ses repas avec lui dans une soucoupe avec une touillette à café. Il la regardait de tous ses yeux admiratifs, matant les trémoussements de ses seins et sa vulve grande ouverte par la position. Souvent, il avançait une main timide et titillait ses appâts du bout des doigts. Elle aimait ça, riait, et dès qu’il avait débarrassé elle s’allongeait à plat ventre devant lui, palmant l’air de ses jambes repliées. Il caressait doucement son dos, le creux de ses reins et palpait avec délices ses petites fesses pommées. Elle écartait alors ses cuisses et les trop gros doigts allaient fureter entre elles, massant le sillon jusqu’à l’humidité. En général, elle se levait et, face à lui jambes ...
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