1. Gully Waer et Lil-y Puthe


    Datte: 15/05/2024, Catégories: fh, Collègues / Travail pénétratio, délire, Humour fantastiq, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... les testicules. Enfin, elle se décida à tendre une main vers l’objet et en polit le gland.
    
    — Lily, mais qu’est-ce que tu fais ?
    — Oh écoute, depuis le temps que j’ai envie de coucher avec toi, a-t-il fallu attendre que je sois devenue un monstre pour que tu me mettes dans ton lit.
    — Mais, Lily, mais j’ignorais. Tu aurais pu le dire, dû le dire… Je… Je suis pas très… habitué, tu sais… alors en plus… j’ai peur de te faire du mal…
    — Haha ! Ne rêve pas mon grand, ce n’est pas maintenant que tu vas pouvoir perdre ton pucelage. Tu imagines ? Tu me ferais exploser… Laisse-moi faire…
    
    Et Lily œuvra, besogna, chevaucha, saisit ce sexe à pleins bras, le serrant entre ses seins, le branla de ses petites mains, le frotta sous ses fesses. Elle vivait un moment extraordinaire, câlinant un pénis colossal, plus énorme qu’elle n’aurait pu en rêver. Elle le manipula avec tant de conviction que soudain le geyser jaillit, inondant l’abdomen de Gérard. Les réserves du jeune homme, jamais entamées, étaient considérables. Ravie par cette mare de sperme, Lily y plongea à plat ventre, s’y roula, s’y frotta tout le corps comme dans une fontaine de jouvence, jusqu’à ce que Gérard proteste :
    
    — C’est sympa Lily, mais là tu m’étouffes, tu m’écrabouilles les boyaux, je n’en peux plus. Souviens-toi que tu pèses toujours autant !
    — Oh excuse-moi mon grand chéri. Je réalisais juste un vieux fantasme, me couvrir tout le corps de sperme. Tu as raison, dormons.
    
    Ils s’endormirent dans les bras ...
    ... l’un de l’autre, ivres de fatigue, couple paradoxal s’il en est.
    
    Gérard fit d’autres tentatives avec des vêtements mouillés, tout aussi infructueuses. Ils en conclurent que la seule présence d’eau ne suffisait pas, il fallait qu’elle fasse partie intégrante de la matière à transformer. Mine de rien, la science avançait. Il ne voulut pas qu’on touchât à la machine qui avait été utilisée brillamment, et il imposa la construction d’une nouvelle machine pour tenter de renverser le processus. Il fallut négocier avec les financeurs. Pour cela, il prit un hélicoptère pour Oslo, apportant avec lui la fameuse orange, preuve de sa réussite. L’entretien fut positif, on observa béatement l’orange rétrécie, on la pesa et la repesa, et il obtint une importante rallonge budgétaire ainsi que l’assurance d’un silence total tant que le processus ne serait pas parfaitement maîtrisé, réduction puis retour à la normale. Il en profita pour faire tous les magasins de jouets de la ville afin d’y trouver des vêtements de poupée à la taille de Lily. Déjà, une poupée de quatre-vingt-cinq centimètres, ce n’est pas courant. Mais en plus, ces jouets n’ont absolument pas la forme et les proportions d’un humain modèle réduit. Ils sont bien plus dodus et ressemblent plus à des bébés. Ce n’est qu’en passant devant la boutique d’un antiquaire qu’il aperçut une poupée ancienne de porcelaine qui avait vaguement la silhouette de sa belle amie. Il entra, négocia avec une vieille dame qui avoua fabriquer elle-même ...
«12...678...15»