Ah ! Les mamans...
Datte: 13/05/2024,
Catégories:
fh,
extracon,
vacances,
plage,
Oral
pénétratio,
fsodo,
diffage,
lieuloisi,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... l’agrément d’une voiture décapotable, et rigolote de surcroît. Au retour, alors que les plages se sont vidées de leurs estivants, je les emmène même faire un petit rodéo sur la plage de la Grande Côte dans un sable où la belle Chevrolet se serait enlisée avec certitude.
Ce qu’elles ne surent pas c’est que, tandis qu’elles chevauchaient leurs canassons avec bombe, cravache, bottes et tenues ad hoc, je chevauchais leur maman dans cette même deudeuche garée dans un petit bois de pins. Ce fut là, mais aussi sur le sable restreint d’une petite plage accessible uniquement en bateau ou après une demi-heure de crapahut sur les rochers du lapiaz, au milieu des dunes, dans les blockhaus abandonnés de la dernière guerre et bien sûr chaque soir dans ma chambre. Pour la première fois, je baise autant que mes hormones de jeune mâle me sollicitent. Il suffit que Kimberley perçoive mon regard concupiscent sur son corps pour qu’elle sache immédiatement que j’ai envie d’elle. Et elle est toujours prête, m’offrant toujours une chatte détrempée, mon désir allumant le sien, comme si nos corps se reconnaissaient instantanément et savaient à l’avance tout le plaisir qu’ils allaient prendre l’un de l’autre. Parfois, l’attente obligée d’un moment propice ou la précarité d’une situation ou d’un lieu ajoutent à notre frénésie sexuelle, décuplant l’intensité de ce plaisir volé.
— Ce que j’aime chez les tout jeunes hommes, me confie-t-elle, c’est leur capacité à se régénérer rapidement et à faire ...
... l’amour de nombreuses fois…
Preuve s’il en fallait que je ne suis pas sa première expérience avec des jeunots. C’est toujours un peu désagréable de ne pas être le premier. Mais bon, il ne faut pas espérer trop d’une femme mariée, mère de famille de trente et un ans. Pourquoi ne pas s’étonner qu’elle ne soit pas vierge, tant qu’on y est…
Hélas, tout a une fin. En août, la petite famille prend l’avion pour l’Afrique du Sud. Je rentre chez moi par le chemin des écoliers, descendant jusqu’aux Pyrénées, histoire de dissiper le blues qui m’a envahi. L’année suivante, je reviens à Saint-Palais, mais hélas, la belle villa demeure désespérément close. Je rencontre Irma, ravie, qui me dit que Madame tenait à ce que ses filles soient parfaitement bilingues et qu’elles passent toutes les vacances en Afrique du Sud. Dommage…
Je plante donc ma tente au camping, sur la seule aire disponible, minuscule, coincé entre deux caravanes et la palissade. C’est bruyant, inconfortable au possible, et je respire plus de gaz d’échappement que d’odeurs de marée. L’expérience de l’année précédente me donne une idée : je scotche sur les vitrines de la boulangerie, de la charcuterie et de la pizzeria une petite annonce offrant mes services de cours particuliers. Il suffit que les gens laissent leur numéro pour que je les rappelle. Mais cette fois, je fais chou blanc et continue de m’ennuyer ferme. J’attends cependant le quatorze juillet avant de repartir, la fête y est toujours agréable et le feu ...